Les aventures d'Aldvin le Barde (10)
Datte: 15/05/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory
Chapitre 10 : Gal-Dûr
Aldvine raconte :
Cela fut difficile pour moi de me retrouver téléportée près du donjon dans lequel j’avais été si gravement blessé. Nous ne nous attardâmes point. La contrée était peu peuplée et nous installâmes un bivouac pour la nuit, ce que nous fîmes pendant six jours avant d’arriver devant la ville de Gal-Dûr, au pied des montagnes pourpres.
Il s’agissait bien de la ville d’où vient le mot galduri qui désigne une pénétration sexuelle par le trou normalement fait pour évacuer nos excréments... La population de Gal-Dûr était essentiellement composée de nains, qui sont traditionnellement de très bons mineurs. Les montagnes pourpres regorgeaient de minerais précieux divers et les nains s’y étaient naturellement installés.
La ville était pleine d’échoppes licencieuses, qui proposaient ouvertement toutes sortes d’olisbos, du joli linge à porter à même le corps avec de la dentelle, des voilages transparents et autres fioritures. Nous nous attardâmes dans une de ces boutiques pour faire quelques emplettes. Et j’avoue que je trouvais mes comparses particulièrement attirantes avec ces effets. Nous trouvâmes une auberge qui avait une chambre libre pour trois personnes et fûmes heureuses d’avoir un meilleur confort pour une nuit, sachant que nous allions attaquer le lendemain le franchissement des montagnes pourpres.
L’aubergiste était un nain, sa femme l’était aussi. Il n’était pas spécialement sympathique avec nous, sans doute le fait que je ...
... sois elfe n’arrangeait rien. Les nains et les elfes ont été longtemps ennemis et cela a occasionné des guerres dans le passé. Aujourd’hui, le royaume est pacifié, mais les rancœurs perdurent. J’avoue que mon appartenance à la race elfe n’étant pas de mon fait, je me fichais un peu de ces considérations politiques.
Nous fîmes un bon repas dans cette auberge, mais curieusement, le vin me laissa un goût étrange à la fin du dîner...
Je me réveillai avec un mal de tête carabiné. Je ne pouvais pas bouger, j’étais attachée (ah non, pas encore les prêtres du Dieu de la Mort, pensai-je) et bâillonnée, les jambes écartées. Pire, je sentais mes orifices, ma chatte et cul, remplis par des objets. Je tournais la tête, jusqu’ici orientée vers le plafond, pour apercevoir mes camarades, elles aussi entravées et bâillonnées comme moi. Elles étaient vêtues de ces dessous aguichants que nous avions achetés la veille. Je ne saurais dire si leurs orifices étaient remplis comme les miens, mais cela devait probablement être le cas...
Nous étions visiblement dans notre chambre. Nous étions tombés sur un couple d’aubergistes pervers... Qui sait comment était la population dans cette ville à la réputation sulfureuse ? En tout cas, pas de magie possible pour Mégane avec le bâillon dans la bouche. J’essayais de bouger un peu, mais cela ne changea rien. Nous étions maintenant toutes trois réveillées et essayons toutes de nous désentraver sans succès. C’est alors que les olisbos en moi se mirent à ...