1. Armelle


    Datte: 14/05/2022, Catégories: fhh, Collègues / Travail fsoumise, noculotte, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe occasion, extraconj, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    ... prendre en sandwich.
    
    Pour moi un vieux fantasme allait se réaliser, pour Pierre aussi, d’ailleurs. Notre amante se mit sur moi, son vagin était mouillé, trempé même. Une fois bien au fond, je la couchai sur moi, exposant le petit trou à la bite de Pierre ; j’écartai les fesses d’Armelle pour faciliter la pénétration. Armelle eut un petit sursaut de rejet, de peur :
    
    — On ne m’a jamais sodomisée, dit-elle.
    — T’en fais pas, tu es complètement ouverte, répondit Pierre qui, au même moment, la pénétra.
    
    Elle poussa juste un petit cri et je sentis, au travers des parois du vagin, un objet dur qui pressait aussi ma bite.
    
    — Allez, Armelle, bouge, laisse-toi bourrer par les deux trous, tu as deux bites en toi, c’est ta fête, lui dis-je.
    
    Alors commença un mouvement de houle, un va-et-vient ponctué de gémissements, de râles ; la sueur rendait nos corps moites, les seins d’Armelle se frottaient contre ma poitrine. Je ne pus me retenir longtemps ; au moment où Armelle s’écria « Je jouis, c’est fabuleux » mon sperme jaillit et remplit la capote. Le ...
    ... contact de la bite de Pierre me laissait cependant dans un état d’érection satisfaisant, me permettant de ne pas sortir du trou accueillant où elle se trouvait. Pierre continuait ses va-et-vient, comme un métronome ; sur moi Armelle gémissait de plaisir, la douleur du premier enculage estompée depuis longtemps. Pierre s’écria :
    
    — Tiens, prends tout, je vide mes couilles …
    
    À son tour il jouit et quitta le petit trou de cul, maintenant dilaté. Il retira son préservatif, le montra, plein de foutre, à Armelle en disant :
    
    — Tiens, tout ça, c’est pour toi et Charles te donnera le sien.
    
    Armelle se dégagea de moi et se releva lentement, elle s’assit, comme sortant d’un rêve puis des larmes jaillirent :
    
    — Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je ne suis pas une pute… Jamais je n’ai fait ça… Et pourtant j’ai joui comme tout, j’ai aimé…
    — Tu étais magnifique, Armelle, n‘aie pas honte, tu as joui, tu es une femme… lui dis-je.
    
    Nous nous rhabillâmes tous les trois, Armelle nous laissa pour rentrer chez elle, mais nous nous étions déjà promis de recommencer. 
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