1. Armelle


    Datte: 14/05/2022, Catégories: fhh, Collègues / Travail fsoumise, noculotte, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe occasion, extraconj, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    ... fouillai les poches de ma blouse et sortis un préservatif (prémédité, non ?).
    
    Armelle en défit l’emballage et m’emballa le sexe. Elle se pencha en arrière sur le bureau, écarta les cuisses :
    
    — Vite, prends-moi avant que Pierre ne revienne.
    
    Je la pénétrai d’un coup sec, la faisant sursauter. Contre mon pubis je sentais ses poils trempés. Une houle régulière nous agitait, elle gémissait doucement. Ma bouche mordillait ses tétons, son pull étant relevé jusque sous son menton. Armelle se tendit, un long râle sortit de sa gorge, elle jouit longuement. Je continuais mon pilonnage, et, au bout d’un moment, elle jouit pour la seconde fois, je me relâchai et éjaculai à fond…
    
    Je me retirai de son vagin. « Oh ! » fit-elle en regardant derrière moi ; je me retournai : sur le seuil de la porte, Pierre nous observait. J’embrassai Armelle, la regardai dans les yeux et dis :
    
    — Viens, Pierre, on va la baiser à deux.
    
    Armelle se releva et se mit nue, donnant ainsi son consentement.
    
    Pierre s’approcha d’Armelle, lui caressa les seins et la chatte, puis il dit :
    
    — Je vais fermer l’atelier à clé, comme ça on ne sera pas dérangé.
    
    Il sortit de la pièce non sans avoir pris les fesses d’Armelle à deux mains. Restés seuls je la caressais pour entretenir son ardeur… Je lui demandai :
    
    — Et Jean-Marie, dans tout ça ?
    — Jean-Marie, il n’aurait jamais osé me prendre dans ses bras pour me soulever, il dit que ça ne se fait pas au travail… Quant à le faire en dehors, comme il ...
    ... est marié et qu’il rentre en bus, il n’a pas le temps… Moi je rêve d’une queue entre mes cuisses, mon mari est depuis trois mois en déplacement et faire l’amour me manque.
    
    Pierre revint, tout guilleret, torse nu ; il s’approcha de nous et nous nous mîmes à palper, pétrir Armelle sur chaque recoin de son corps. Elle gémissait, disait des mots sans suite, ses mains nous masturbaient. Je me dégageais, me mis à côté de Pierre et dis :
    
    — Maintenant, suce-nous tous les deux.
    
    Notre collègue s’agenouilla et entreprit de nous faire une fellation, prenant alternativement chaque bite dans sa bouche. Je rebandais ferme et sentais ma jouissance revenir. Comme j’avais « déjà donné », je m’écartai en suggérant à Armelle de terminer Pierre, ce qu’elle fit avec des mines gourmandes, salivant, ronronnant, lui caressant les couilles… Pendant ce temps j’étalais du papier sur la table de travail. Pierre explosa :
    
    — Tiens, salope, prends en plein la bouche, c’est bon !
    
    Armelle se releva, je la fis étendre sur la table. Alors commença pour elle un véritable festival de caresses, léchages, suçons et autres agaceries. Pierre et moi nous nous en donnions à cœur joie, festival à 4 mains et deux langues. Ni ses seins, ni son anus, rien ne fut épargné. Armelle coulait littéralement, plus d’un orgasme l’avait déjà fauchée. Avec ses mains elle essayait de nous masturber, nos bites étaient tendues, gonflées. Je relevai Armelle et m’assis sur la table :
    
    — Enfourche-moi, vers moi, on va te ...