Rue de la Gaîté !
Datte: 13/05/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
couple,
inconnu,
sexshop,
vidéox,
Oral
préservati,
pénétratio,
libercoup,
bisex,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... projection. Ce n’était pas dans nos envies de se montrer comme certains. Notre cabine nous suffisait.
— Tu n’as pas mis de culotte ?
C’est plus une constatation qu’une question. Ania qui monte devant moi me montre des rondeurs sans aucune ombre.
— Non, pourquoi, ça te choque ?
Bien sûr que non, voilà encore un exemple de la conversion de ma compagne à une attitude beaucoup plus libre.
La salle est équipée d’un sas dont la porte sur le couloir est ouverte. L’autre, équipée d’un hublot, est fermée. Si j’ai bien compris les conventions, c’est la porte du couloir, ouverte ou fermée, qui indique si la salle est accessible.
Par le hublot, on devine l’écran en marche et dans une pénombre intimiste on devine des gens installés.
Les trois canapés sont placés en fer à cheval. Le central fait face à l’écran, les deux autres sont orientés pour pouvoir regarder le central et l’écran. Ania regarde aussi. Je la questionne du regard. Sa réponse est dans la main qu’elle pose sur la poignée et qui fait ouvrir la porte. Elle passe devant moi…
ANIA
La femme et l’homme sont debout devant le canapé central. Dans le canapé de droite, deux hommes regardent. Ils nous voient arriver ! Ils nous dévisagent.
L’écran montre un couple qui danse langoureusement alors qu’un homme les regarde, tranquillement installé, un verre à la main.
Je suis folle. Qu’est-ce qui m’arrive ? J’ai bien vu le regard de la femme vers mon mari. Ce n’était pas juste un coup d’œil en passant. ...
... Non, c’était bien plus, un regard de prédatrice, de celles qui sont sûres d’elle, de leur charme, de leur pouvoir de séduction. Elle avait « jaugé » mon mari et ne s’était pas attardée sur moi, me gratifiant juste d’un sourire derrière lequel j’avais senti de l’indifférence, alors qu’elle avait exposé sa dentition parfaite pour lui. La garce c’est comme si elle lui avait dit : que faites-vous avec elle ? Comme beaucoup, elle m’avait catalogué dans la case « Gamine ». Une gamine qu’un jeune mâle dévergondait en l’emmenant dans un sex-shop.
J’aurais dû la chasser de mes pensées et c’est ce qui se serait produit si la vendeuse, qui nous a à la bonne, n’avait lancé cette information sur les habitués de la salle III. Elle devait avoir une petite idée derrière la tête ou bien juste penser nous rendre service. Pour son excuse, l’environnement ou elle baignait à longueur de journée devait lui faire croire que tous les clients ont une parfaite ouverture d’esprit. Passer de cabine privée à salle publique, devait être pour elle juste monter quelques marches au lieu de les descendre.
Si cela était arrivé à notre première visite ou même la seconde ou la troisième, il est évident que cela ne se serait pas passé ainsi. D’abord, la vendeuse ne nous aurait pas fait la confidence et même si elle l’avait faite, ma première idée aurait été :
Elle est malade. Elle nous prend pour qui ? Chacun chez soi et les moutons seront bien gardés !
Déjà la cabine privée, avec tous les tabous qu’elle ...