1. Rue de la Gaîté !


    Datte: 13/05/2022, Catégories: fh, fplusag, couple, inconnu, sexshop, vidéox, Oral préservati, pénétratio, libercoup, bisex, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... et engloutit la verge que j’ai laissée.
    
    Un regard de reproche ? Un merci de lui laisser sucer son homme ? Peu importe, elle est prise entre deux feux.
    
    C’est excitant de les voir si près. Rien à voir avec la froideur d’une vidéo. Ici, c’est du vécu, du chaud, chaque soupir, chaque suintement, chaque floc-floc est bien réel. De voir mon Steph baiser cette bourge me fournit un plaisir que je n’imaginais pas. Au départ, c’était une sorte de bataille muette entre nous, la femelle et moi, mais maintenant je ne suis pas certaine d’avoir fait ce choix juste pour cela. Pourquoi suis-je heureuse de voir son mandrin disparaître dans la fente de cette culotte ridicule ? Pourquoi suis-je même troublée de voir comment la bite du mari est venue remplacer celle de mon homme. Gouffre sans fin, coulures de salives obscènes.
    
    Et si cela venait de… Plus d’une fois j’y ai pensé. J’avais essayé de chasser cette idée, cette faute, faute partagée sans qu’il le sache.
    
    Dois-je rester de marbre ou tout du moins afficher une froideur que je ne ressens pas, que je ne ressens plus.
    
    — Si vous voulez, vous pouvez la prendre par son petit trou, dit le mari entre deux soupirs.
    
    Steph ne se le fait pas dire deux fois. Il guide son mandrin un peu plus haut et d’une poussée conquérante encule la femme tout en me souriant comme s’il me disait :
    
    C’est bien ce que tu voulais.
    
    Oui, je voulais qu’il lui laisse un ...
    ... souvenir impérissable. Je sais qu’il en est capable.
    
    <iclusion>
    
    Mais moi aussi je veux qu’elle se souvienne de moi. D’ailleurs, je sens la montée d’une chaleur qui me trouble. Pourquoi n’aurais-je pas le droit, moi aussi, d’avoir ma part.
    
    Trois boutons suffisent à libérer ma poitrine. Steph avait remarqué que je ne portais pas de culotte mais pas de soutif non plus.
    
    Je me caresse. Je me soulève pour chasser ma robe, exposant à mon mari et la salope qu’il bourre, la fente que ma main explore.
    
    C’est bon. Les autres ont remarqué mon changement. Heureusement, l’homme ne cherche pas à me reconquérir. Il me regarde. La chienne aussi avec son regard en coin.
    
    Qui jouit le premier, je ne sais ? Ce qui est certain c’est que l’homme a juté dans la gorge de sa femme et alors que Steph la bourre si fort qu’elle crie, on voit du foutre couler de ses lèvres. Moi pour tout vous dire je n’ai pas joui. Arrivée avec un train de retard ou simplement plus perturbée que je ne le pensais par la situation si étrange, je ne sais pas.
    
    Ce que je sais c’est qu’après, les ayant quittés, abandonnant le couple auprès duquel d’autres hommes proposaient leur service, dans la discrétion de la cabine, j’ai pris un pied d’enfer. Stéphane a été rassuré de m’entendre dire, en répondant à sa question.
    
    — Tu n’es pas fâchée ?
    — Fâchée de quoi ? C’est moi qui t’ai demandé et tu l’as bien fait couiner, la garce.
    
    À suivre… 
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