1. Réconfort et vieilles dentelles. X. (1)


    Datte: 09/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... je me mis à claquer à deux mains, chaque main à sa fesse, en jouant ma partition de percussion, tel un véritable roulement de tambour, à un rythme intense.
    
    Je vis la peau blanche si douce rosir à vue d’œil, tandis que sous l’impact les ondes parcouraient les chairs souples en remontant vers les hanches. Caroline, le visage crispé, le front plissé, s’efforçait de serrer les dents et de ne pas crier.
    
    Je décidai de ne pas être cruel et ne fis pas durer ce tonnerre roulant plus de deux ou trois minutes. D’autant qu’elle encaissait bien, acceptait son châtiment sans faille. Si elle se montrait une bonne soumise, elle n’en était pas moins une jeune femme sensuelle et pleine de désir.
    
    Pour ma part, je me sentais à l’étroit dans mon slip : je bandais comme un cerf !
    
    — Allez, petite Carole, on va changer d’endroit : allez vous installer à genoux là-bas sur mon canapé !
    
    Elle obéit, sans doute pas fâchée de laisser ses fesses se rafraîchir quelques instants : elle descendit de la chaise, sa jupe retomba, et elle grimpa pour se placer à genoux à l‘endroit que je lui désignais, près de l’angle du canapé.
    
    Elle allait se retrousser à nouveau quand je lui dis, d’un ton impérieux :
    
    — Enlevez votre jupe, cette fois ! Je veux voir votre cul bien épanoui tout à fait libéré.
    
    Une fois la jupe jetée à côté, elle reprit position, les jambes légèrement écartées, et posa ses avant-bras sur le dossier du sofa, et sa joue sur ses mains, dans une attitude tout à fait charmante. ...
    ... Parfaitement docile elle prit cette posture d’attente qui voulait dire : « je suis à vous. »
    
    — Écartez bien les cuisses, Caroline. Il n’y a pas que de votre cul dont je veux l’offrande.
    
    Le visage écarlate, elle écarta largement ses cuisses et se cambra comme jamais, m’offrant une vue imprenable sur sa fente et son entre-fesses.
    
    Je mis un genou sur le canapé juste à côté d’elle puis posai ma main droite sur le bel objet que je me mis à caresser. Elle ferma les yeux de plaisir. Je caressai la peau veloutée et désormais chaude de chaque hémisphère, mes doigts s’égarant dans le sillon profond, puis en descendant effleurèrent le pourtour de la vulve et le mont de Vénus que j’empaumai tout entier. Son souffle devint court.
    
    Puis elle releva la tête, et d’une voix rauque, elle articula :
    
    — Fessez-moi encore, je l’ai mérité, je suis une petite vicieuse. Mais pas comme ça : à plat ventre en travers de vos genoux, comme une sale gamine... J’en ai rêvé !
    
    — Mais vos désirs sont des ordres, ma petite Caroline, ris-je. Mais vous gardez vos bottes, et vos bas... et votre chemisier blanc de sage petite secrétaire. Moi aussi j’ai rêvé de vous fesser comme ça... comme une petite salope.
    
    Elle descendit du canapé, et elle resta légèrement penchée vers moi durant une seconde. C’était trop tentant : je pris son menton entre mes doigts et l’attirai vers moi et l’embrassai doucement, puis à pleine bouche. Elle me rendit mon baiser avec passion.
    
    J’attrapai sa nuque comme pour la ...
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