1. Réconfort et vieilles dentelles. X. (1)


    Datte: 09/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... Ouyouyouïlle !
    
    — Trois !
    
    — Aïeee ! AH, ah... fit-elle en se frottant les fesses.
    
    Je lâchai le martinet, pris sa majestueuse croupe entre mes mains comme je l’aurais fait d’un vase précieux :
    
    — Vous avez un cul magnifique, ma petite Caroline... et vous êtes une merveilleuse soumise...
    
    Et sans le lâcher, je m’agenouillai derrière sa belle mappemonde et me mis à lécher... non, recueillir le nectar que sa chatte laissait échapper, rendant luisant tout le pourtour de ses grandes lèvres, l’intérieur nu de ses cuisses. Je me mis à lui laper avidement la vulve, mordillant ses tendres pétales, son bourgeon, insinuant ma langue dans l’orée rose de sa grotte, remontant en lui tenant les fesses ouvertes jusqu’à l’œillet que je mis à lui flécher avec soif et gourmandise.
    
    Rapidement, s’étant abandonnée à l’hommage de ma bouche, elle se mit à soupirer, puis gémir, puis pousser de longues plaintes où je sentis son plaisir monter puis exploser tandis que je lui dévorais la fleur. Ma bouche recueillit même avec délice quelques petits jets de cyprine.
    
    Je lui suçai la rosette à grands bruits (comment lui montrer mieux ma vénération pour son cul splendide ?) puis me relevai, me collai à son dos, pris ses seins dans mes mains, me mettant à les malaxer, en l’embrassant dans le cou avec avidité.
    
    Elle tourna sa tête, m’offrit sa bouche, je lui dévorai la menteuse, nos langues se livrant à un ballet frénétique. Elle retira sa langue de ma bouche, juste pour dire dans un ...
    ... souffle :
    
    — Prends-moi ! Viens. Baise-moi !
    
    Je ne me fis évidemment pas prier : ma queue raide sortie n’eut aucun mal à trouver le chemin de sa chatte trempée et je l’enfilai d’un coup et jusqu’au fond. Elle cria aussitôt un cri de jouissance, qui fut suivi de longs feulements tandis que je m’agrippai à ses seins ronds qui remplissaient mes mains, et même en débordaient.
    
    Collé à elle, j’entamai des longs va-et-vient, des mouvements de reptation passionnés, qui nous arrachaient à tous les deux des cris désespérés de plaisir.
    
    Excité comme un dément, je lui léchais le cou, lui murmurais des obscénités à l’oreille, lui pinçotais le bout de ses mamelons :
    
    — Je vais te poser mes pinces à seins les plus fortes... je vais te mettre un collier de chienne... un harnais en cuir... je vais te baiser comme une chienne... attachée à la chaise... Je vais te baiser les mains menottées dans le dos...
    
    Mais je continuai à la baiser à grands coups de reins souples et amples, jusqu’à ce que, n’y tenant plus, je m’accrochai à ses hanches, et prenant tantôt appui sur son large bassin, tantôt agrippant ses douces poignées d’amour, ses tendres bourrelets, je me mis à la pilonner comme un dément, dans un concert de hurlements conjoints, de cris lubriques, jusqu’à ce que j’envoyai sans tenter de les retenir mes longs jets de foutre tout au fond de sa chatte.
    
    Nous restâmes longtemps ainsi collés et enlacés, mon vit encore gonflé en elle, et tandis que je la caressai doucement de mes deux ...
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