1. La boulangère


    Datte: 05/05/2022, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, nympho, groscul, magasin, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nostalgie, Humour candaul, Auteur: Bali Balo, Source: Revebebe

    ... :
    
    — Attends ! Reste. Moi, ta queue, j’y crois, et je la veux.
    
    Et, tout en me regardant toujours, elle fait glisser sa jupe à terre, déboutonne son chemisier sous lequel apparaissent des seins magnifiques. Des seins pleins et fermes, un peu lourds, ce genre de seins auxquels on a envie de faire des câlins. La voilà devant moi, appuyée contre la paillasse, nue, tranquille, sûre de sa beauté, de sa séduction, mais même pas provocante. Elle est comme ça, naturelle.
    
    La situation est pour le moins extraordinaire. Je la découvre, la regarde… J’aime déjà son sourire, le galbe de ses épaules, la rondeur de ses seins, sa taille fine surplombant l’évasement de son bassin, le rebondissement si mignon de son ventre, le foisonnement de son bas ventre, la largeur de ses hanches… Elle interrompt ma contemplation :
    
    — Et toi, je te veux tout nu aussi.
    
    Elle me voit hésitant. Elle sent ce que je pense, qu’il s’agit peut-être d’un piège, vu comme elle a l’air complice avec son mari.
    
    — Ne t’inquiète pas, laisse-toi faire.
    
    Doucement, elle entreprend de finir de me déshabiller. Elle déboutonne ma chemise, la fait glisser sur mes épaules et mes bras. Elle se penche, enlève mes chaussures puis mes chaussettes et me débarrasse de mon pantalon et de mon slip. Elle me regarde encore. Elle regarde mon sexe, déjà moins rabougri que tout à l’heure, elle a un sourire amusé, elle le soulève d’une main, le caresse de l’autre :
    
    — Je te dis que j’y crois, moi.
    
    Et elle me prend dans ...
    ... ses bras, me serre contre elle. Le contact de nos deux corps nus, de nos peaux, de nos chairs me fait fondre, je la serre aussi, fort, fort… Je lui caresse la nuque, le dos, les fesses, les hanches. Je me détache d’elle pour la regarder encore, poser mes mains sur ses seins, son ventre. Je n’ai plus d’appréhension, je bande à nouveau, c’est délicieux. Elle se laisse glisser pour se mettre à genoux devant moi, enserre mon sexe entre ses seins, puis l’agace avec sa bouche, me gobe pour quelques allers-retours en me prenant les fesses. Elle n’insiste pas trop, sentant probablement ma fragilité. Elle se relève, retourne s’appuyer les fesses sur la paillasse, les jambes écartées.
    
    — Viens, m’ordonne-t-elle. À ton tour de t’occuper de moi.
    
    L’invit’ est claire, et à mon tour je m’agenouille devant elle. J’entoure ses hanches de mes bras, et dépose des baisers sur son ventre, puis je passe doucement ma main entre ses cuisses à la rencontre de ses lèvres, à moitié cachées par ses poils. C’est doux, et je sens ses petites lèvres qui dépassent à peine. J’avance mon visage pour les baisoter. C’est trop bon. Bien en place, je remonte vers son clitoris déjà gonflé. C’est maintenant tout à fait délibérément que j’enfonce mon visage dans ce sexe, que je m’abîme dans cette vulve presque animale. Je lui écarte furieusement les fesses pour lécher, baiser, mordiller ses nymphettes. Je vais même plus haut pour donner de grands coups de langue sur son petit trou. J’ai l’impression de devenir ...
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