1. La boulangère


    Datte: 05/05/2022, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, nympho, groscul, magasin, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nostalgie, Humour candaul, Auteur: Bali Balo, Source: Revebebe

    ... nous risquions de déranger ?
    — Déranger ? Non… à cette heure-ci, mon mari dort à l’étage et l’apprenti est parti. Non, le problème, c’est la boutique… Remarquez, je pourrais fermer quelques minutes… cela m’arrive de temps en temps pour faire une course.
    — Vous êtes trop aimable.
    
    Elle bloque la fermeture, retourne le panneau « Ouvert/Fermé », surveille un instant la rue et me dit :
    
    — Allons-y
    
    Je contourne le comptoir, la laisse passer et la suis dans l’arrière-boutique. Tout est nickel, dans la pénombre. Les machines sont maintenant au repos, le four éteint.
    
    — Alors, cher monsieur, que voulez-vous donc voir qui vous intéresse à ce point ?
    — Ah, madame ! Je vous le dirai, mais pour cela je vous demanderai de prendre appui sur ce plan de travail, et de vous pencher un peu.
    
    Sans hésiter, elle prend la position.
    
    — Pardonnez ma curiosité et mon audace, dis-je en retroussant sa jupe, et je découvre un postérieur des plus imposants.
    
    Un postérieur ? Des fesses ! Un cul ! La coquine s’est cambrée pour accentuer les rondeurs et mieux les offrir. Une brève pensée pour Jean-Pierre Marielle et sa célèbre ode au cul de femme. Là, je vois, je regarde, je profite, je m’en mets plein la vue. Ses deux fesses mises en valeur par sa culotte largement échancrée sur les côtés. Je reste un instant muet, en contemplation, puis je lui demande, d’une voix un peu blanche, si je peux enlever l’emballage de ce prodigieux Pierrot.
    
    — Faites donc, me dit-elle.
    
    C’est au moment ...
    ... où je pose les doigts sur l’élastique du sous-vêtement qu’une main imposante se pose sur mon épaule, accompagnée d’une voix tonitruante :
    
    — Alors, comme ça, mon gars, tu veux mater le cul de la boulangère ?
    
    Je pense à toute allure que ce type va me pulvériser, que je vais avoir très peur, très mal, le tout en souhaitant que ça ne dure pas trop longtemps.
    
    — Remarque, je comprends ça ! Moi, ça fait douze ans que je lui mate son cul tous les jours, et je m’en lasse pas.
    
    Prudemment, je ne réponds pas, j’attends la suite. Quant à la boulangère, elle n’a pas bougé d’un poil, comme si elle aussi, elle attendait.
    
    — Eh ben ! Qu’est-ce que tu étais en train de faire ? Continue ! Vas-y !
    
    Je flaire le piège, je crains de recevoir une énorme baffe si je descends la culotte. Mais il insiste :
    
    — Putain… Vas-y, j’te dis !
    
    Ce coup-ci je sens la baffe venir si je n’obéis pas. Alors je m’exécute et en tremblant je fais franchir au sous-vêtement la rondeur de hanches, des fesses, et découvre dans son entier ce merveilleux derrière. Comme j’avais cru le remarquer, il est intégralement bronzé. Dire que j’en profite… non, bien sûr…
    
    — Enlève-la, complètement, m’ordonne-t-il.
    
    Je me baisse pour la faire descendre jusqu’aux chevilles.
    
    — Regarde donc, mon gars ! C’est pas un beau cul, ça ? Regarde ces courbes, ces volumes, regarde cette raie, putain ! Comme ça doit te changer des petits culs rikiki de tes copines étudiantes ! Ça, c’est un cul de femme, nom de dieu ! Un ...
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