1. L'influenceuse


    Datte: 05/05/2022, Catégories: f, fh, couple, piscine, amour, fsoumise, contrainte, cérébral, Masturbation portrait, dominatio, Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe

    ... montrer une certaine froideur déclarée « professionnelle » avec d’autres encore. Ce sont d’ailleurs ses ambiguïtés qui ont mis réellement à mal son couple, car si l’homme qui partageait sa vie était capable de sacrifices, y compris de se mettre en retrait, pour mieux la mettre en lumière il est quand même assez rare qu’il puisse accepter que celle qu’il aime distille des recettes de bien-être auprès d’une clientèle masculine. La confiance, base de la relation, est peut-être la chose la plus fragile du couple et la moins bien comprise et partagée. C’est ce à quoi Claudia est entrain de penser quand Jessica vient la rejoindre sur le canapé pour faire le point sur les dossiers en cours, l’emploi du temps de la journée, les rendez-vous…
    
    — Voilà, dit Jessica, je crois n’avoir rien laissé passer. Ah, si ! Une dernière chose… Tu as rendez-vous pour un coaching en début d’après-midi. Je donnerai l’adresse à Ahmed. Il faut que tu sois très ponctuelle.
    — OK… Mais qui est le client ?
    — Ben, c’est curieux, en réalité c’est une femme qui m’a juste donné son prénom et son adresse…
    — … Et alors ?
    — C’est une certaine Jasmine…
    — Bon, on verra sur place… En attendant, au travail.
    
    Et les deux filles entament leur vraie journée de travail, buvant café et eau minérale, avalant un repas léger livré par un restaurateur du pied de la tour, avant que Jessica ne vienne rappeler à Claudia, l’heure de son rendez-vous avec Jasmine…
    
    Plongé dans l’enfer de la circulation du centre-ville. ...
    ... Ici, tout le monde respecte à la lettre le code de la route, les priorités, car les sanctions sont sévères et la police routière intraitable. Peu d’habitants conduisent eux-mêmes leurs voitures, la majorité dispose de chauffeurs, voire même de gardes du corps quand ce n’est pas une voiture ouvreuse et/ou suiveuse pour assurer la protection de la personne transportée. Et nombreuses sont les résidences, les villas individuelles ou ensembles immobiliers qui bordent des rues dont l’accès est réglementé, la surveillance renforcée et pour y accéder il faut montrer « patte blanche », avoir été inscrit sur le cahier de visite au préalable. Claudia connaît parfaitement ce système, car elle-même, pour accéder à sa villa, doit se plier à ces obligations. Elle sait aussi que souvent, les temps de vérification sont longs et pour arriver à l’heure à un rendez-vous, il faut savoir en tenir compte. Mais c’est Ahmed, son chauffeur attitré, qui gère les check-points d’entrée et tout se passe comme si de rien n’était.
    
    Il arrête sa voiture sous le péristyle d’une villa moderne, toute blanche dont on aperçoit seulement un bout de jardin, oasis vert dans cet univers de sable blanc ocre. Puis Ahmed descend et ouvre la portière pour permettre à Claudia de sortir du véhicule. Il faut s’habituer à ce cérémonial et elle a appris à contrôler ses pulsions naturelles. À peine a-t-elle fait un pas vers la porte d’entrée, monumentale, qu’une camériste lui ouvre. Claudia s’engouffre dans un immense hall, en ...
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