L'influenceuse
Datte: 05/05/2022,
Catégories:
f,
fh,
couple,
piscine,
amour,
fsoumise,
contrainte,
cérébral,
Masturbation
portrait,
dominatio,
Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe
... monde, là où tous les entrepreneurs veulent être, car il n’y existe aucun système d’impôts, ni sur le revenu ni sur les sociétés. La vie y est douce pour ceux qui ont de l’argent et le monde des « jet setteurs » s’y retrouve et organise cette communauté très fermée et particulièrement enviée par le reste de la planète.
Pourtant la vraie vie de Dubaï est austère, dictée par la Charia(loi coranique stricte et sévère) qui laisse très peu de place à l’épanouissement des femmes dans leurs vies personnelle et encore moins sociale. Le soleil et le désert entourent une immense cité ultra moderne dont la vie est rythmée par les appels à la prière des muezzins, cinq fois par jour. Les constructions, toujours plus hautes, toujours plus esthétiques(enfin, cela dépend des goûts), sont réalisées par des cohortes d’ouvriers indiens et pakistanais qui travaillent 24 h/24, sont souvent privés de leurs passeports et doivent œuvrer dans des conditions de sécurité plus que douteuses… sans parler du climat aux chaleurs accablantes. Outre le soleil avec, en été, des chaleurs qui dépassent les cinquante degrés à l’ombre, l’eau est rare et très chère, l’air y est toujours saturé d’odeurs pestilentielles d’essence dues à une circulation intensive qui vient s’ajouter à celle du naphte, brûlé nuit et jour par les raffineries du pays qui relâchent dans l’atmosphère une brume orangée prégnante qui vous colle à la peau de minuscules grains de sable en provenance du désert sans cesse balayé par des ...
... vents permanents, chauds et épuisants. Car Dubaï ce peut aussi être aussi un enfer… mais, une fois encore, pas pour tout le monde…
Ce matin, de bonne heure, Claudia se précipite vers la piscine qui borde la marina où elle a trouvé une maison à louer. L’immense pelouse qu’elle doit traverser pour atteindre les bords d’une piscine à débordement lui fait naître de minuscules gouttelettes de sueur au-dessus de sa lèvre, et elle sent, sous ses aisselles, le poisseux de sa sueur. Bien qu’il ne soit pas encore sept heures du matin, le soleil de plomb fait déjà grimper le thermomètre à près de trente degrés. La nuit a presque été calme, la villa moderne est bien isolée contre les bruits extérieurs, car deux villas plus loin, une équipe de télévision a envahi le quartier pour tourner un programme de téléréalité « les Marseillais à Dubaï » et souvent, jusqu’à tard dans la nuit ce ne sont que des cris, des hurlements et de la musique « à donf » qui bercent le voisinage. Alors Claudia profite du calme de ce tout début de matinée pour se baigner, nue, dans son immense piscine sans que quiconque vienne la déranger. Même Sergio, son chevalier servant actuel est encore au fond de leur grand lit, endormi de tout son long corps athlétique au bronzage parfait, abandonné à la douce atmosphère de la climatisation.
Claudia enlève ses savates blanches et dénoue la ceinture de son moelleux peignoir au blanc immaculé qui s’affale sur le carreau, déjà chaud, du bord de la piscine, puis nue, elle ...