L'influenceuse
Datte: 05/05/2022,
Catégories:
f,
fh,
couple,
piscine,
amour,
fsoumise,
contrainte,
cérébral,
Masturbation
portrait,
dominatio,
Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe
... nombre de nos riches Émiratis vont aller pour fuir le ramadan et ses rigoristes applicateurs. En même temps, tout religieux qu’ils sont, cela ne les empêche nullement d’être de vrais hypocrites ici, consommant des jeunes vierges, achetant leur virginité à prix fort, comme ils consomment du whisky, mais servi dans des théières qu’ils l’appellent le « Thé d’Allah » et en faisant croire que c’est du thé, comme d’autres consomment « l’eau d’Allah » qui est en réalité du gin ou de la tequila ou de la vodka, mais comme ce sont des alcools blancs ils pensent que cela ressemble à de l’eau et que leur dieu ne remarquera rien. Mais c’est bien de l’alcool qu’ils boivent pur… Si ce n’est pas de l’hypocrisie, ça ! Voire même de la folie quand il fait quarante degrés dehors !
— Il faut que je rentre, il va faire nuit et j’aime pas être dans un taxi la nuit, on ne sait jamais ce qui peut arriver.
— Attends, je vais demander à Ahmed de te raccompagner.
— Merci… À demain.
— Oui… À demain Jessica.
Jessica partie, Claudia a besoin de deux choses… un grand verre d’alcool fort et aller se plonger dans l’eau. Et quand, nue comme ce matin, elle entre dans l’eau, autour d’elle la nuit est tombée, et des dizaines de lumières sont venues mettre automatiquement en valeur le jardin et la piscine. Autour des lampes, un ballet incessant de moucherons et moustiques fait le bonheur des chauves-souris locales.
Claudia nage doucement pour se détendre, fait des exercices de respiration pour ...
... retrouver une attitude plus zen, revenir à cet état d’équilibre dont elle a tant besoin. Faisant la planche au milieu de l’eau, elle repense à la conversation avec Jasmine, puis celle avec Imène. Surréaliste ! Une gamine d’à peine seize ans qui parle comme une roulure de trottoir ! Pour elle, c’était inimaginable ! Et elle tente d’effacer ce moment… Mais en même temps, elle repense à ses seize ans : que faisait-elle ? Que connaissait-elle de l’amour ? De ses pratiques ?
Bras en croix, jambes écartées, les yeux fixant la voûte céleste, bercée par le léger courant créé par la pompe, Claudia se laisse porter vers le rebord pour y reposer la tête et mieux profiter de ce moment privilégié.
Revoyant l’image des seins de la jeune Imène, elle porte automatiquement ses mains sur sa poitrine. Pour comparer ? Peut-être, mais inconsciemment. Claudia aime ses seins, naturels. Leur douceur, leur volume. Elle aime aussi leur réactivité, comme à cet instant. Le simple contact les fait s’affermir, les aréoles se contractent, les petits bouts se redressent. Toute leur surface devient sensible. La peau est fine, douce, soyeuse. Naturellement, le bout de ses doigts pince les tétons qui durcissent et voluptueusement lancent des ondes magiques au creux de son ventre. Elle a l’impression d’avoir toujours eu une poitrine sensible… pas seulement à ses doigts ou sous la main d’un amoureux. Un tissu arachnéen, un tulle de soutien-gorge, le coton d’un tee-shirt porté à même la peau, le souffle d’un vent ...