1. Ce qui se cache derrière un mot.


    Datte: 05/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... était prise.
    
    L'ambiance de l'après-midi au bureau fut lourde, et tendue. Jérôme, renfrogné, ne m'adressa pas la parole, et même si cela m'a amusée, au début pendant un moment, cela devint, à la longue, assez pénible.
    
    Aussi, je fus très heureuse de rentrer chez moi, où après un repas léger, et une douche, je me remis sur le PC.
    
    Je visionnai un grand nombre de vidéos, dont beaucoup relevaient de l'industrie du sexe, tournées avec, et par des professionnels, artificielles, parfaitement navrantes, certaines même, quasiment ridicules.
    
    D'autres par contre, tournées dans des clubs, ou dans des soirées privées, dont certaines m'impressionnèrent, par leur ardeur brutale, avaient cet air d'authenticité qui ne trompe pas, et m'avaient sérieusement remuée... j'en avais trempé mon string.
    
    C'était décidé. Je me confortai dans l'idée que, moi aussi, comme ces femmes que je me prenais à envier et admirer, je devais m'assumer, et franchir le pas.
    
    Il me fallait construire, ce qui devenait mon projet essentiel : réunir un bukkake autour de moi.
    
    Le lendemain, j'étais à la boîte à huit heures ; je me rendis au planning, et posai trois jours de congé, nous étions mardi, cela me libérait donc, jusqu'à la semaine prochaine. Je prenais un peu de temps pour me consacrer à l'organisation de mon projet.
    
    Comme de bien entendu, Jérôme arriva à neuf heures passées, ne me salua pas et me fit une gueule d'apocalypse... je laissai faire...
    
    Vers onze heures, alors que je revenais du ...
    ... service expéditions, je constatai que le bureau était vide. Je m'assis à mon poste et me mis au travail. Quand j'entendis un "bip", provenant du poste de travail de mon « collègue »...
    
    Se pouvait il que... ?
    
    Je contournai l'îlot... Et là ! Je n'en crus pas mes yeux ! La providence m'offrait une arme de dissuasion massive !
    
    Jérôme, quelle imprudence... !
    
    Quand il revint, au bout d'une demi-heure, un café à la main, je lui lançai :
    
    — Tu le torréfies toi-même, ton café ? Ça fait presque une heure que tu es parti !
    
    J'ai cru qu'il s'étranglait.
    
    D'une voix qu'il étouffa, pour ne pas être entendu, mais dans laquelle perçait une violence, qu'il ne parvenait pas à contenir, il siffla :
    
    — Tu fermes ta gueule, connasse ! Tu ne m'adresses même pas la parole, espèce de pute ! C'est clair ?
    
    — Ce qui est clair, c'est que ta maman t'a très mal élevé...
    
    Il continuait à m'insulter.
    
    — Elle ne t'a pas appris à respecter les dames... et c'est un tort ! Surtout quand celles-ci possèdent une copie de ton historique de navigation, et de tes mails...
    
    Il essaya de crâner, mais je l'avais déstabilisé.
    
    — Tu bluffes, t'as rien !
    
    — Tu es déjà en progrès ! Les insultes ont disparu. C'est bien ! Et des progrès, tu as intérêt à en faire... dans tous les domaines, si tu veux que certaines personnes continuent à se faire des illusions à ton sujet.
    
    Il s'était subitement tu.
    
    — Dis-moi... Je ne savais pas que tu baisais la femme de Bernard... votre rendez-vous, pour ...
«12...5678»