1. C'est donc cela le naturisme (7)


    Datte: 03/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Etrenu, Source: Xstory

    ... seul.
    
    — Une déclaration ?
    
    — De quoi as-tu envie ?
    
    — Humm... Cela te ferait plaisir qu’on inverse les rôles ? Tu aimerais être enculé ?
    
    — J’adore être enculé. Et par toi, ce serait un bonheur absolu ! Mais tu n’es pas obligé...
    
    — Je n’ai pas baisé avec tant de filles que cela, tu sais... Une sodomie, jamais. S’il y a quelqu’un avec qui j’ai envie d’essayer, c’est bien toi ! Tu veux bien ?
    
    — A deux conditions : d’abord, je voudrais que tu me prennes à cru. J’ai confiance sur le fait que tu es sain... La seconde, c’est que j’aimerais être pris debout, contre la cloison, comme si on était tous les deux contre un rocher, sur une plage nudiste, et que tu me tournes autour devant des mecs excités, que tu me prennes et me reprennes, qu’on se roule des pelles, qu’on se caresse partout, en bons nudistes...
    
    Son sourire étincelant me prouve que j’ai vu juste quand j’ai imaginé que nous partagions ce fantasme. Nous nous relevons. Je m’abaisse pour le sucer. Non pas qu’il ait une verge mollassonne ; au contraire, il est à nouveau bien raide. Mais j’ai très envie de ce contact labial ; et de sa saveur d’homme.
    
    Avec une autorité qui me réjouit, il m’oblige rapidement à me relever pour me coller contre la cloison. Commence alors une enculade d’une incroyable sensualité qui nous voit nous enfoncer tard dans la nuit. Il me pelote, me branle, me caresse, me lèche le cul, me pénètre, me besogne, ressort, recommence. Dix fois. Vingt fois.
    
    Il revient sans cesse en moi ; ...
    ... sans plus aucun ménagement. Et il ressort, profite de mon corps, me fesse, me doigte, me pétrit les chairs.
    
    Nous sommes deux corps surexcités qui résistent à l’appel de l’éruption. Nus tous les deux à se jouer de nos corps dans le halo d’une faible lumière. Comme si nous étions de nuit, sous la lune, dehors, à jouer avec nos anatomies mâles.
    
    Nous exultons de nous voir nus, bandants, à nous tourner l’un autour de l’autre, sensuels quand nous nous caressons ou nous embrassons, sexuels quand il me pénètre et me bourre à tous les tempos possibles, toujours debout, toujours à admirer nos nudités crues.
    
    Nous osons nous dire nos fantasmes, ceux d’Adam et Adam dans le jardin d’Eden, mâles nus aux corps surchauffés, les yeux révulsés devant tant de beautés anatomiques.
    
    Ses doigts effleurent ma peau avant que ses mains ne me pétrissent les chairs puis que son champignon proéminent force ma corolle ; que je sois debout face au mur, penché sur le bureau, à quatre pattes en levrette, couché sur le dos jambes relevées. J’admire sa morphologie mâle par en-dessous, de côté, de devant ou de derrière.
    
    Alors que la ville dort depuis longtemps, il explose enfin sur mon visage, dans ma bouche, sur mon torse. Son sperme est abondant. Il coule partout sur ma peau. C’est si bon !
    
    Et il me lèche à nouveau, me nettoie avec la langue, partage en bouche sa semence, me fait encore bouillir.
    
    C’est lui qui m’allonge sur le lit et vient me masturber. J’aurais souhaité qu’il joue avec mon ...