1. C'est donc cela le naturisme (7)


    Datte: 03/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Etrenu, Source: Xstory

    ... immédiatement autant. Puis quand j’abandonne les testicules pour lui bouffer le cul, il retourne déguster ce qu’il a tant aimé chez moi il y a peu. J’ai beau me dire que c’est un obsédé de la rondelle, je suis exactement comme lui, hors de moi à lui lécher l’anus.
    
    C’est un concert de grognements qui résonne dans la chambre. La posture est physiquement éprouvante ; la dégustation est merveilleusement bestiale. Tout occupés à nous bouffer mutuellement le cul, nous perdons plusieurs fois l’équilibre pour nous remettre immédiatement en position.
    
    Comme je l’avais imaginé, il se décide brusquement à s’arracher à ma dévoration, à bondir et à se mettre en levrette, ses superbes fesses écartées offrant un joli trou baveux entrouvert.
    
    Je lui offre ma queue à sucer pour me laisser le loisir de le fesser et de le doigter analement afin de détendre encore ses chairs.
    
    Ce sont ses supplications qui me font arrêter. Je sais bien qu’il n’est pas prêt à me recevoir dans son conduit étriqué. Mais il tient tellement à essayer !
    
    Je me place derrière lui pour frotter ma hampe le long de sa raie. La sensation du membre dur et chaud contre ce qu’il a de plus intime le surexcite. En bonne lopette (cela m’arrive aussi), il astique abondamment mon sexe avec sa raie surchauffée. Je sais combien c’est bon, surtout quand on est en manque de pénétration. Tout amateur de sodomie a besoin de ce contact frénétique.
    
    Les meilleures choses ont pourtant une fin. J’enduis abondamment son ...
    ... anus de gel. J’enfile un préservatif, le lubrifie et me mets en position. Il faut une bonne poussée pour que mon gland passe le pas de sa corolle. Son corps frémit douloureusement. Il grimace. Je lui laisse le temps d’habituer à la présence d’un corps étranger en lui en l’embrassant, en le branlant, en le caressant partout.
    
    Je suis content de constater qu’il ne débande pas trop. Je pousse encore un peu. Il se crispe carrément.
    
    Après plus de cinq minutes d’efforts, je n’ai fait pénétrer qu’un tiers de ma verge en lui. Son corps est secoué de soubresauts douloureux. Il jette son bassin en arrière pour s’empaler, mais la douleur arrête chacune de ses gestuelles passives.
    
    Je le change de position en le couchant sur le dos pour tenter une pénétration sous un autre angle.
    
    Le résultat est le même : je ne vois que grimaces douloureuses sur son visage. Il a beau se masturber pour mieux m’accepter en lui, il est trop étroit pour apprécier.
    
    C’est moi qui décide de me retirer. Il me supplie de continuer, de lui laisser le temps, de persévérer.
    
    Je me contente de relever son visage et de lui rouler une pelle en disant sèchement « non ! ».
    
    Notre baiser accompagné de caresses intimes calme peu à peu sa frustration. Il finit par sourire.
    
    — C’est chiant les puceaux ex-hétéros, non ? Trop étroits ! Tu dois préférer les homos au conduit bien plus souple !
    
    — Pour l’instant, la seule chose qui m’importe, c’est que tu prennes du plaisir. C’est toi que je préfère. Et toi ...