1. Le départ


    Datte: 01/05/2022, Catégories: f, fh, jeunes, frousse, rousseurs, inconnu, campagne, hôtel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init, historiqu, prememois, Oral Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    ... pas qui, en se rapprochant, faisaient craquer le plancher. Il fantasmait de sentir le contact d’une bouche brûlante le gober entièrement. Mais ce fut une main chaude qui doucement l’enserra. Un gentil mouvement se fit sur sa hampe. La main était petite et la pression exercée légère. Il aurait voulu se sentir davantage de pression autour de son sexe, mais le mouvement produisait quand même son effet. Bientôt, sur son gland décalotté, il sentit un souffle chaud. C’était Jeanne qui, rapprochant ses lèvres, s’apprêtait à en goûter la saveur. Saveur musquée et salée qui ne la rebuta pas, au contraire. Ce premier contact l’incita à y retourner avec plus d’assurance. Elle suça consciencieusement le vit du mieux qu’elle put pour une débutante, encouragée par la respiration haletante du groom qu’elle mettait en émoi. Ce dernier se mordait la lèvre afin de tenter de retenir sa jouissance malgré l’excitation que causaient les bruits de succions de la jeune rouquine. Mais la sève qu’il retenait en lui montait inexorablement vers le point de bascule où toute tentative de contrôle était superflue.
    
    Peut-être une intuition féminine fut-elle à l’œuvre ? Jeanne relâcha son étreinte buccale et abandonna un instant le membre qui occupait sa bouche. Il y eut un moment de suspens, de silence. Le jeune groom se demanda pourquoi cet abandon soudain ?
    
    Il eut bientôt la surprise de sentir la caresse d’une vulve humide qui lui offrait son entrée. Jeanne, encore vierge, goûtait à la sensualité ...
    ... de profiter d’un interdit sans pour autant complètement le braver, jouant à l’entrée de la porte du plaisir sans y pénétrer. Dos au mur, son postérieur blanc jouait avec le membre viril prêt à éclater. Le gland était tendu, dur comme du bois. Elle le faisait passer le long de ses cuisses, au creux du sillon de ses fesses, le masturbant, le frottant contre son bouton d’amour, l’enfonçant à peine et le ressortant aussitôt dans de doux va-et-vient mouillés qu’un liquide suave vint gratifier se répandant à l’entrée de sa vulve rose. Soumis à ce traitement, le membre ne résista pas longtemps et explosa en plusieurs fortes giclées qui vinrent se répandre à l’entrée de l’intimité rousse de Jeanne.
    
    Les traces de sperme blanc et crémeux contrastaient avec le rose orangé de sa vulve, et tandis qu’elle regagnait sa couche, elle passa sa main.
    
    Dans le calme de la nuit, la planche du lambris retrouva sa place, sans un mot. Jeanne dont les joues étaient encore empourprées alla retrouver son lit. Elle s’endormit nue, la peau au contact du coton frais. L’odeur de lavande des draps absorbait le parfum viril répandu entre ses cuisses en une fragrance étrange et inconnue. Le chant du coq retentit quand le sommeil vint la prendre.
    
    À son réveil, notre demoiselle serra prestement ses effets personnels. Sans prendre le temps de déjeuner, elle se précipita à la loge afin de régler son départ. Apaisée de ne pas avoir croisé son amant du soir dans les couloirs de l’hôtel, elle s’empressa de ...