1. Le départ


    Datte: 01/05/2022, Catégories: f, fh, jeunes, frousse, rousseurs, inconnu, campagne, hôtel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init, historiqu, prememois, Oral Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    ... yeux.
    
    Le pauvre groom qui était toujours recroquevillé dans son réduit, et toujours en proie aux vicissitudes du désir, frappa timidement contre la cloison. Jeanne sortit de sa torpeur et se demanda comment se débarrasser de ce voyeur qu’elle considérait maintenant comme importun. Elle s’approcha du lambris et tandis que l’œil était toujours là, un autre petit coup sur le bois se fit entendre.
    
    Notre demoiselle ne savait comment résoudre la situation ; elle prit un linge de toilette et le plaça sur le mur au moyen de quelques épingles, souffla la lumière et alla se blottir dans son lit.
    
    Quelques instants plus tard, alors que d’étranges bruits sourds venant du lambris se firent t’entendre, Jeanne s’agaça :
    
    — Chut !
    
    Le silence ne fut que de quelques durées. De nouveau le même frottement.
    
    — Chut ! Je vais me fâcher !
    
    Le silence se réinstalla dans la chambre… puis de nouveau le bricolage venant du lambris reprit.
    
    Jeanne devinait ce qui était en train de se passer : faute de ne pouvoir pénétrer dans les appartements de la demoiselle, le groom tentait, dans un dernier espoir de lui présenter ses hommages, de détacher une des lattes du lambris espérant y glisser plus que l’œil !
    
    Quand le silence revint, trois petits coups se firent entendre. Jeanne alluma la lumière, et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit en à la place du linge qu’elle avait placé au mur, à un mètre du sol, la tête du groom !
    
    Son visage de jeune homme encore un peu poupon ...
    ... dépassait de l’encadrure laissée par une latte manquante. Il cherchait dans un sourire d’enfant grondé à obtenir mansuétude : Jeanne saisit un des coussins qui étaient à côté d’elle et fit mouche en pleine tête.
    
    Le malheureux, évitant le projectile, se releva et se retrouva le col coincé entre les planches. Son sourire se changea alors en grimace. Jeanne se précipita au secours du gibier de collet qui se mit à geindre et gesticuler en essayant de se dégager de son piège de bois. Toute tremblante du scandale qu’une telle situation ferait dans l’hôtel, elle lui intima l’ordre de se taire et de ne plus bouger.
    
    — Calme toi, lui dit-elle, plus tu forces, plus ça coince.
    
    Elle se plaça face à la tête du jeune homme. Au bout de quelques instants d’efforts, elle réussit à le dégager sans lui faire de mal, et il retrouva enfin sa liberté.
    
    Jeanne toute nue, mains sur les hanches, lui adressa un regard noir. La tête disparut, mais réapparut sitôt dans l’encadrure des lattes du lambris, un vit bien dressé et luisant. C’était la première fois qu’elle voyait un vrai sexe d’homme. Non pas qu’elle fût surprise de la forme de l’objet, ses amies et cousines lui ayant déjà fait leçon de la chose, mais c’est l’effet comique du tableau qui produit son effet : elle étouffa un rire en voyant ce totem impudique et tressaillant surmonter d’une paire de drôles de boules roses…
    
    Après quelques longs instants de silence, le groom, debout derrière les planches de bois, entendit alors des petits ...