Martine s'exhibe dans un strip torride (4)
Datte: 30/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory
... pubis, afin de décharger tout au fond du vagin. Je ne suis pas sûr que la pouliche ait eu le temps de prendre son pied.
Puis, aussi rapidement qu’il en était descendu, Marc reprit place sur le siège et recolla un magistral coup de cravache encore sur la fesse gauche, déclenchant à nouveau un cri de douleur et laissant une trace parallèle à deux centimètres de la première. Il y avait maintenant une certaine symétrie entre les deux fesses. Marc avait bien observé nos manœuvres et la conduite des rênes pour contourner les obstacles. Il ne fit aucune faute, mais ne ménagea pas les seins de la pouliche qui obéissait parfaitement aux sollicitations avec une réactivité remarquable.
Dès que le circuit revenait droit, même pour deux mètres, la cravache rentrait en action avec pour effet immédiat d’entraîner l’accélération de l’attelage.
De nous quatre, Marc était de loin le plus violent avec la pouliche. Il mettait le paquet pour gagner la course et la récompense : le petit trou. Il était totalement libéré de sa timidité initiale et profitait de la passivité de Martine pour lui faire subir le maximum d’avilissements et de sévices. Marc est célibataire et il devait avoir des rapports compliqués avec les femmes.
J’étais personnellement dans une situation ambiguë, d’une part gêné et un peu honteux de voir ma femme ainsi traitée, d’autre part sexuellement très excité de participer, comme les autres à une telle soirée. De toute façon, je me disais que Martine avait la ...
... possibilité d’arrêter de subir tout cela et qu’elle ne le faisait pas ce qui sous-entendait qu’elle en tirait un certain plaisir.
Plusieurs fois, j’ai cru quand même que Martine allait abandonner et crier les trois STOP qui auraient arrêté ses souffrances, mais à part quelques cris plus aigus quand la cravache tapait trop fort ou que les rênes tiraient trop sur les seins, distendant les aréoles, elle subissait tout avec abnégation.
La dernière ligne droite s’accompagna d’une débauche de coups de cravache. Marc se croyait décidément sur un champ de course, dans la dernière ligne droite en vue du poteau d’arrivée. La pouliche ne put pas aller plus vite et je pense que Marc trouvait un plaisir extrême et sadique à cravacher ainsi gratuitement la croupe de la pauvre pouliche qui ne se plaignait même plus, gardant son énergie pour franchir la ligne d’arrivée qu’elle sentait proche.
Marc avait fait le parcours en moins de treize minutes, gagnant ainsi haut la main. Il descendit du sulky sans même prêter attention à sa pouliche qui haletait, tête baissée.
Jean eut pitié d’elle et lui présenta un grand verre d’eau à la bouche, qu’elle but avidement. Il la détacha ensuite du sulky.
Martine avait maintenant l’ensemble de la croupe toute rouge, exception faite de la raie culière qui avait évité les coups de cravache. La fesse gauche était ornée des deux marques laissées par Marc et qui étaient encore blanchâtres, la fesse droite était zébrée de deux marques violettes légèrement en ...