Martine s'exhibe dans un strip torride (4)
Datte: 30/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory
Suite de martine et le sulky
L’opération fut très simple : il a suffi de faire passer la pouliche entre les deux branches et de fixer chacune d’elles par une sangle et un mousqueton à l’anneau situé sur la ceinture, de chaque côté du torse. C’est là que je compris pourquoi les branches étaient incurvées : attachées par leur extrémité à la ceinture au niveau de la taille, leur forme courbe permettait ensuite de contourner les rondeurs de la croupe de chaque côté des hanches. Les sangles courtes et tendues rendaient le couple sulky pouliche très solidaire. Le système était très étudié. Il aurait aussi bien pu s’utiliser en attelage debout, à condition de faire passer les rênes par-dessus les épaules avant de les passer dans l’anneau central de la ceinture qu’à quatre pattes. C’est l’option que nous avions retenue compte tenu de l’espace disponible dans la salle d’exposition dont toutes les voitures étaient regroupées au fond.
Chacun prit place successivement sur le sulky doté d’un siège et de repose-pieds, nous étions positionnés suffisamment bas pour pouvoir profiter de la vue exceptionnelle sur l’arrière-train de la pouliche et en particulier sur la toison de la chatte bien dégagée sous la queue dont les lanières étaient tirées vers le haut et dont on voyait le manche enfoncé dans le cul. C’était génial en même temps qu’ultra-pornographique.
Il fallait se pencher assez fort pour que l’embout de cuir de la cravache atteigne la croupe de la pouliche, en appuyant sur ...
... les repose-pieds. Ce faisant, les branches du sulky appuyaient sur les sangles, poussant la taille vers le bas et faisait cambrer la croupe : effet terrible.
Marc m’avait demandé la permission de filmer, je l’avais autorisé compte tenu du fait que l’on ne pouvait reconnaitre la femme ainsi attelée au sulky. Il s’engagea à ne pas filmer les mâles présents et commença immédiatement son porno perso.
J’avais attrapé une trique phénoménale, je sentais le sang battre dans ma queue comprimée dans mon slip. Je suppose que mes compères devaient être dans le même état,
Jean nous expliqua alors ce qu’il avait imaginé : il allait placer trois « chapeaux de clown », ces cônes blancs et rouges utilisés par la DDE, dans le hall d’exposition. L’objectif étant de les contourner, sans les toucher, successivement par la gauche puis la droite et de réaliser le circuit dans le meilleur temps. Chaque driver allait avoir le droit à une saillie de la pouliche pendant son circuit. Le gagnant allait pouvoir alors extraire la queue et profiter du petit trou bien préparé (quid de Pierre et son gros engin).
Aucune remarque, ni des drivers ni de la pouliche, tout le monde était donc d’accord
C’est Jean qui prit le premier départ. Il avait si bien préparé son scénario qu’on avait l’impression qu’il l’avait répété : coup de cravache bien senti et qui claqua comme un coup de fusil sur la fesse droite, cri strident de la pouliche mélange, je pense, de surprise et de douleur, mais qui eut pour ...