Martine s'exhibe dans un strip torride (4)
Datte: 30/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory
... relief. Passant la main sur la croupe, je pus constater la température élevée de celle-ci. Quelques coups avaient touché également les cuisses au niveau de la vulve.
Toujours à quatre pattes, la pouliche attendait la suite des évènements en poursuivant sa récupération. Lui relevant la tête par le menton, je pus constater que des larmes descendaient sous le loup le long des joues.
Jean prit l’initiative de décrocher les pinces des seins. Pressant sur l’extrémité de celle de gauche, les dents s’écartèrent du mamelon en déclenchant un long cri de douleur, presque un hurlement de Martine. Je m’étonnai de cette réaction et Jean nous expliqua, en massant le mamelon entre ses doigts, que la pose de la pince avait coupé la circulation du sang, ce qui avait entraîné une anesthésie locale, ce qui nous avait permis d’ailleurs de manœuvrer les rênes sans que cela ne déclenche de cris de douleur. En retirant les pinces, le sang afflua à nouveau dans le bout des seins, provoquant cette douleur qui faisait hurler Martine.
Au moment d’enlever le second, Martine eut un mouvement de recul, comme si elle voulait garder la pince. Il fallait vraiment que ce soit douloureux. Jean prit le sein en pleine main et ôta la pince puis massa le mamelon comme précédemment. Bien que prévenue, Martine poussa un second cri de douleur, mais mieux contenu que le premier en serrant les dents.
Jean prit Martine par les épaules la fit se redresser le torse, les fesses posées sur les talons pour ...
... éviter d’écraser la base de la queue et lui mit les mains derrière la tête. Il lui enleva ensuite le loup. Elle cligna des yeux, éblouie, et nous nous rendîmes compte des larmes qui mouillaient ses yeux.
Ainsi présentée, les deux seins s’étaient redressés et nous pouvions voir les mamelons tout rouges dont les aréoles n’avaient pas encore tout à fait repris leur forme naturelle et sur lesquels on voyait l’empreinte des dents des pinces avec, par endroit, de petites gouttelettes de sang qui perlaient. Ses pauvres tétons avaient été vraiment maltraités. Martine garda cette position encore quelques minutes pour terminer de reprendre son souffle. Marc avait l’air impatient de disposer de son lot.
Au bout d’un moment qui lui sembla sans doute trop long, Marc attrapa Martine par un anneau du collier et, en tirant, l’obligea à se remettre à quatre pattes. Ce n’était pas terminé pour elle.
Positionné à genoux derrière la croupe, Marc détacha la cordelette qui reliait la queue à la ceinture, puis tirant doucement sur la base de la queue, commença à l’extraire de son logement. On avait l’impression que la queue avait pris racine dans le rectum, tant il fallut que Marc tire plus pour que l’on commence à voir le manche sortir de l’anus dont le sphincter avait l’air de ne le relâcher qu’avec regret. Doucement, les cannelures apparaissaient, resserrant puis ouvrant le diamètre de l’anus. Toute cette opération se fit sans un mot.
Quand le manche fut complètement extrait, l’anus se ...