Mémoires d'une jeune suceuse (4)
Datte: 30/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JeuneSuceuse, Source: Xstory
... ultime pause, je sais qu’il va parler, que viennent les trois mots... Je sais qu’il est temps, et qu’enfin, ma journée est sur le point de naître avec eux... Je sens qu’il s’apprête à me les offrir... Son regard se renforce, ses sourcils se froncent puis se figent, ses doigts sur mon visage resserrent leur emprise, et tombe sa voix, qui j’entends presque encore, à l’heure où je vous écris...
— A genoux, Salope.
... Je n’ai rien à répondre. Ce qu’il dit est ce qui est, et cela me réjouit au plus haut point, ici, et maintenant. Et puis, quoi qu’il en soit, le samedi matin, il m’est défendu de parler avant d’avoir consommé ce premier repas.
Pour moi, je me plie avec bonheur à l’ordre de notre relation. C’est avec lui du sexe comme je l’aime : le dominant parle, la suceuse écoute... Le maître ordonne, l’élève s’agenouille... L’autorité donne, la salope reçoit.
Le samedi, je ne m’agenouille pas de la même façon que le vendredi. Je m’agenouille, pourtant. Mais il tient particulièrement à ce que sa suceuse reçoive son petit-déjeuner - et se mette dans l’esprit de le recevoir -, dans une position adaptée à cette loi. Hors de question pour moi ni de me servir ni de prendre aucune initiative, d’ailleurs : Ce repas-ci se déroule exclusivement dans mon obéissance, et sans une parole de ma part.
Connectée à ses yeux, à son ordre, je m’abaisse, lentement, en position de réception, c’est-à-dire que je me laisse tomber sur mes genoux qui s’écartent largement, ainsi que mes ...
... jambes pliées, afin de poser mes fesses par terre, entre mes deux pieds nus. Je suis assez souple grâce aux années de danse baroque, de ce fait, cela ne m’est pas du tout inconfortable.
Dans cette position, où je me trouve encore plus bas que la veille face à lui, je pose ensuite mes mains à plat au sol, à peine au-devant de mes genoux. Cela provoque une cambrure extrême de ma croupe, et pousse mon buste à s’étirer devant mon maître comme en un salut au soleil... Lors, bien que ma tête se penche et se fige en arrière (les quarante-cinq degrés, vous savez, désormais...), la rondeur de mes fesses en est tellement accentuée qu’il a tout loisir de les voir depuis sa position, son regard surplombant largement ma fine constitution, qu’il enveloppe sans peine.
En outre, il ne saurait ignorer - je lui fais confiance -, que cette contorsion fait remonter ma nuisette, en dénudant le bas de mon corps jusqu’à la taille, ni que la pression de ma cambrure pousse mon clitoris à saillir légèrement, lequel émerge indécemment entre les lèvres de ma petite vulve, qui s’entrouvre en une délicate amande, offerte à l’aventure de son désir de possession.
Oh ! Ne me prenez pas pour plus cochonne que je le suis : Ce qu’expose mon entrejambe asservi, je me garde bien de le lui exhiber, ce n’est pas là mon genre, et puis, de là où il se trouve, par-devant, mon maître ne saurait rien voir, et il ne compte pas quitter d’un instant une place qui n’est que sienne...
Grands Dieux, non ! Jamais sa ...