1. La maman d'Alex


    Datte: 29/04/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, campagne, fdomine, entreseins, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe délire, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... céder, un peu gondolée. La pompe est bien là, en apparence impeccable, avec son tableau électrique, ses vannes, son tuyau d’arrivée venant du fond de la piscine et son tuyau de départ montant verticalement. Mais la lampe de poche révèle une anomalie : un fil d’alimentation de la pompe a été déconnecté du tableau. Ça, ça ne se fait pas tout seul, c’est volontaire. Premier mystère. La vanne d’alimentation elle aussi est fermée, volontairement également, à n’en pas douter. Pour en avoir le cœur net, je rebranche le fil un bref instant, juste le temps de vérifier si le moteur fonctionne encore. Pas de problème, malgré la rouille et les années, le moteur ronronne bientôt très régulièrement. Je l’arrête vite, supposant que c’est l’eau qui doit lubrifier l’engin en fonctionnement normal, et là c’est à sec.
    
    — Ben alors, s’exclame Liliane, si tout marche pourquoi faut-il réparer ?
    — Je ne vois qu’une possibilité, réponds-je. Si ton mari a pris la précaution de débrancher et de tout fermer, c’est que le tuyau qui monte à la cascade fuit. Et il avait peur que la pompe crame ou que ça fasse un court-circuit. On va le débrancher et on va regarder.
    
    Défaire deux mahous colliers qui ont été serrés il y a plus de quinze ans, à quatre pattes dans un placard sombre, ce n’est pas de la tarte. Enfin, avec du dégrippant et quelques légers coups de marteau, les bêtes cèdent. Le tuyau annelé reste encore suffisamment souple pour sortir de son logement sans craquer, et là, nouvelle ...
    ... surprise ! À quelques centimètres, au niveau de l’enfoncement de sortie de pompe, il y a… un bouchon de liège. Un de ces gros bouchons que l’on met sur des pots de terre ou de verre. Lui non plus n’est pas venu là tout seul. L’étonnement passé, on se dit que ce bouchon doit cacher quelque chose, et une certaine fièvre de curiosité s’empare de nous. Mais comment enlever ce bouchon ? Soit on coupe le tuyau imposant de le changer, soit on parvient à retirer le bouchon ou à le fragmenter. Je crains qu’il ne s’enfonce un peu plus en le triturant.
    
    Une vrille ne parvient pas à le décoller, j’entreprends donc de le rogner avec un cutter et un ciseau à bois. Liliane va me chercher un tabouret et une poubelle pour que je puisse travailler plus aisément et ne pas mettre de déchets de liège partout, surtout dans le corps de pompe. Une demi-heure plus tard, le bouchon ne tient plus que par le collage du temps sur un tiers de son pourtour. Je suis épuisé et en nage. Liliane m’apporte une bière en courant de peur de rater l’instant de la découverte. Et l’instant arrive, brutalement, sans prévenir. Une cascade métallique déferle dans la poubelle. Une cascade qui n’en finit pas. Et la poubelle se remplit, et ça continue. Quand ça s’arrête enfin, nous sommes l’un en face de l’autre, effarés. Nous venons d’assister à une cascade de pièces d’or. Une pleine poubelle. Des centaines, des milliers peut-être… J’en prends une, pièce américaine de vingt dollars. Plus de mille euros la pièce ! C’est une ...
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