1. La maman d'Alex


    Datte: 29/04/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, campagne, fdomine, entreseins, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe délire, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... genou en terre et joint les mains :
    
    — Tous les saints du paradis, soyez bénis pour cette heure de gloire, je fais encore bander un homme, c’est inespéré…
    
    Tout le monde applaudit et rit aux éclats, je suis malgré tout un peu gêné et tente vaguement de m’excuser.
    
    — Jeune homme, je refuse vos excuses, mais j’accepte cet hommage.
    — Ben oui, vieux frère, ajoute Alex. Je n’imagine pas qu’on puisse bander pour ma mère parce que c’est ma mère. Mais là, je vois bien que c’est possible. Et c’est vrai qu’elle est encore très jolie. Eh bien, débrouillez-vous avec ça, moi je vais me coucher parce que demain matin, boulot à cinq heures…
    
    Bon, ben voilà. « Débrouillez-vous avec ça » qu’il a dit. Et ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Si Alex avait donné sa bénédiction, en quelque sorte, il ne fallait pas s’en priver. Liliane enfourche mes genoux, me bécote à pleine bouche, puis s’empale sur mon membre dressé. En quelques minutes de cavalerie de haute précision, je déverse une semaine de réserve dans ce corps pleine pulpe que je palpe à pleines mains. Un pur délice. Et l’on continue dans sa chambre une partie de la nuit, et encore toute la matinée. L’appétit de Liliane ne se dément pas, le mien non plus. Je trouve une inspiration nouvelle dans ses formes pleines, renforcée par le naturel qu’elle a d’accepter ou de solliciter toute sorte de fantaisies, sans faire le moindre chichi contrairement aux filles de notre âge. Nous baisons en toute liberté, jusqu’au bout de ...
    ... nos fantasmes. Et c’est bon.
    
    L’après-midi, je décide de m’attaquer à cette foutue pompe. Alex m’aurait bien aidé, mais il a peur d’échouer aux partiels et décide de s’enfermer pour réviser. Je trouve tous les outils nécessaires au fond du garage et commence mon investigation, Liliane sur mes talons. Elle me montre un chariot portant une lance d’incendie, un tuyau de gros calibre d’une centaine de mètres sur un dévidoir, que l’on peut brancher quelque part sur la cascade, mais elle ne sait pas où. À l’arrière de la sculpture, une plaque de marbre n’est pas scellée et découvre l’arrivée du tuyau, avec une vanne permettant de basculer sur une prise où l’on peut raccorder la lance. Mais la pompe doit être en sous-sol. Il faut contourner le bassin de la piscine en partant du garage jusqu’au milieu du côté opposé. Il fait sombre, juste éclairé par la lumière blafarde des hublots.
    
    Nous finissons par trouver un interrupteur, et des néons palpitent avant de faire plein jour. Liliane en profite pour me tripoter à tout bout de champ et je le lui rends bien. Nous avançons dans un bric-à-brac de vieilleries, seul endroit un peu humain de ce palace impeccable à l’excès, jusqu’à ce qui semble être un gros pilier de soutènement. Mais il est percé d’une porte métallique fermée par une serrure. Logiquement, la pompe ne peut être que là. Et bien sûr, Liliane ignore où peut se trouver la clé. Elle m’autorise à user d’un pied de biche, ce qui ne plaît pas du tout à la porte qui finit par ...
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