1. On mélange tout !


    Datte: 16/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Peden, Source: Hds

    ... délicatesse des caresses de cet homme qu’elle avait pris pour un rustre grossier, Louise, les yeux baissés à nouveau, renonçant à se défendre plus avant, jeta sa vertu par-dessus les moulins, se tourna vers Marcel et lui tendit ses lèvres, pour un baiser plein de promesses. Il pénétra sa bouche de sa langue avide, pendant que ses mains se régalaient au contact des petits seins, terriblement excitants, de sa voisine de chaise. Dans le miroir mural, Louise voyait son beau corps nu, peloté par un homme nu, gros, laid, qu’elle n’osait pas toucher, mais dont elle voyait le sexe, bandé, agressif, qui pointait vers elle. En l’absence d’expérience, elle ne put que le comparer au sexe de Rémy… Le sexe de Marcel soutenait la comparaison, mais était bien différent…
    
    Pensant que Marcel entraînerait Louise vers la chambre d’amis, Rémy guida Odile vers la chambre conjugale, sans cesser de l’embrasser et de la lutiner. Sans séparer leurs lèvres, ils roulèrent sur le lit et Rémy entreprit de s’intéresser (enfin !) au sexe de sa partenaire. L’une de ses mains lâcha le sein qu’elle caressait pour se poser sur la toison, courte et taillée, puis sur le clitoris qu’elle se mit à titiller. Aussitôt, à la grande surprise de Rémy, Odile se mit à pousser de grands cris qui, s’ils n’eussent été de plaisir, auraient été le signe d’une immense souffrance…
    
    Dans la salle à manger, Marcel se détacha du corps de Louise, se leva, la fit également se lever et l’assit sur la table, les jambes dans le ...
    ... vide, pour mieux l’embrasser et la caresser. Puis il s’agenouilla et sa bouche s’empara longuement du pubis de Louise, puis de son clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse, dans un petit cri. Puis il se releva et, debout, leva à la verticale les jambes d’une Louise haletante, au dos allongé sur la table, pour enfoncer son sexe dans celui de sa maîtresse, en un double râle de plaisir. Tout en gémissant sous les coups de piston de Marcel dans son ventre, Louise entendit les cris que poussait Odile dans la chambre. Curieuse et un peu envieuse (« grands cris = grand plaisir ? »), elle s’interrogeait. A la fois poussée par une pointe de jalousie et emportée par sa propre jouissance, elle se mit, elle aussi, à se lâcher et à pousser des cris de plaisir, qu’elle exagéra, afin d’informer son salaud de mari qu’elle aussi prenait un pied d’enfer…
    
    La maison résonna longtemps des cris que poussaient les deux femmes, incitant les deux hommes à se surpasser et à forcer leur talent, afin de prolonger ce moment si valorisant pour leur petite vanité de mâle enfoncé dans une femelle…
    
    Alors qu’ils étaient en pleine « action », Marcel entendit sonner son téléphone, qu’il avait posé sur la table et, bien enfoncé au fond du ventre de Louise, qui se tut. Il décrocha. C’était sa maîtresse régulière, qui demandait de ses nouvelles. Tout en tentant de contrôler son souffle, il l’assura, bêtement, que tout allait bien. Fine mouche, Claire nota les halètements retenus de son amant et lui demanda crûment ...