On mélange tout !
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Peden, Source: Hds
... Marcel, impatiente du moment où, le repas donné pour terminé, chaque couple se retirerait dans sa chambre.
Ils parlaient de tout et de rien lorsque Marcel brisa la fausse neutralité de la situation en proposant de jouer aux cartes. Rémy, qui sentait un parfum de stupre extra-conjugal émaner chez son invitée, regarda Marcel, Odile, puis Louise, qui n’en pouvait mais, et demanda, faussement finaud :
— OK, une belote ? … un rami ? … un poker ?
— Un poker, pourquoi pas ? Oui, si on faisait un strip-poker ? proposa Marcel avec un clin d’œil appuyé.
Rémy dirigea son regard vers Odile, dont le regard brillant ne cachait plus son excitation, puis vers Louise qui, baissant les yeux pour ne pas montrer sa panique, répondit, inquiète :
— Un strip-poker, qu’est-ce que c’est ?
Marcel le lui expliqua. Louise, complètement paniquée, regarda son mari. Se dévêtir devant des inconnus, elle ne l’avait jamais fait… Mais Rémy insista…
— Ce sont des cousins, nous sommes en famille…
La situation devenait toute autre… Marcel couvait Louise d’un œil concupiscent… Il se mit à contempler son corps élégant, mince, sa taille fine, ses jambes fuselées, ses beaux seins qu’un sage chemisier dissimulait à sa lubricité. Son regard éperdu cachait, à ses yeux, la plus garce des amantes…
Et les cartes furent distribuées, avec enthousiasme et fébrilité. La première à se retrouver torse nu fut Odile, fière de mettre ses seins, lourds, mais pleins et arrogants sous les yeux des deux ...
... hommes et d’une autre femme (la future maîtresse de son mari ?). Les deux hommes suivirent de peu le mouvement de déshabillage sans se plaindre de perdre, mais Louise résistait, la chance lui permettait de conserver chemise et slip… Le vent tourna enfin et, après avoir retiré ses chaussures, elle tenta de retarder l’échéance en ôtant ses bracelets, mais un tollé l’en dissuada.
Elle fut contrainte de retirer son chemisier. Les yeux baissés, dut ensuite retirer son soutien-gorge. Louise, troublée par sa nudité, voulut confier sa pudeur aux yeux de son mari, mais elle ne vit que son dos, que sa nuque, caressée par les mains d’Odile, qu’il embrassait à pleine bouche, tout en caressaient avidement ses gros seins offerts…
Louise ne savait plus que faire. Elle se voyait seule, nue, exposée au regard concupiscent d’un inconnu, sans son homme pour défendre sa vertu menacée. Mais quand elle vit Rémy se lever, prendre Odile par la taille et, sans cesser de l’embrasser, l’emmener vers leur chambre à coucher, elle faillit s’évanouir.
Marcel ne pouvait résister plus longtemps et admirait sans pudeur le corps de sa voisine. En souriant maladroitement, parce que tout de même un peu gêné par l’innocence de Louise, il se tourna vers elle et, les yeux dans ses yeux, il tendit les mains vers ses seins, qui en effleurèrent les tétons, puis s’en emparèrent, pour les caresser avec délicatesse avant de les empoigner doucement, comme si elles craignaient de les blesser. Surprise par la ...