1. On mélange tout !


    Datte: 16/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Peden, Source: Hds

    Quelques années après leur mariage, Rémy, était taraudé par des souvenirs de sexualité libérée vécue lors de sa jeunesse insouciante, et avait fini par accepter de réaliser le fantasme de voir allongée et ouverte sous un homme sa douce épouse, Louise, dont le comportement et la conduite étaient pourtant ceux d’une très sage et très conformiste bourgeoise de province.
    
    Rémy avait été ému par une vidéo qui lui avait montré une femme nue, dont les gros seins avaient gratté sa libido (et qu’une petite paluche avait dû calmer), tout en regrettant de n’avoir pas le loisir d’en caresser d’aussi gros, bien réels.
    
    Aussi, à l’insu de Louise, avait-il pris l’initiative de contacter, sur un site de rencontres libertines, un couple, qui vivait pas trop loin de chez eux, pour une rencontre « libérée ». Il avait été rassuré que la description du couple ait mentionné la « poitrine généreuse » d’Odile et le « surpoids » de Marcel, qui représentait, à ses yeux, une garantie. En bref, il pourrait jouer avec une belle paire de gros nichons et Louise devrait se débrouiller avec le « reste ».
    
    Les ayant annoncés à Louise comme un couple de lointains cousins de passage dans leur région, il les avait invités à passer le week-end à la maison, sans révéler ses intentions à sa femme.
    
    Odile était une femme pas très grande, au visage assez vulgaire, de Marie-Madeleine, plutôt que de Sainte Nitouche, mais fessue et nantie de très gros nibards arrogants (à la Dubout) qui tendaient son ...
    ... chemisier comme une montgolfière. En la voyant, Rémy se sentit tout émoustillé. Quelle belle fête s’annonçait pour ses sens !
    
    Marcel était effectivement en surpoids, très largement. Son visage était taillé à la hache, mais franc, et ses yeux ne cachèrent rien de sa lubricité quand il se trouva en présence de Louise, qui fut surprise et choquée par le regard de maquignon qui se posait sur son corps. Que faisaient chez eux de telles personnes ? Son innocente vertu l’empêchait d’envisager, refuser ce qu’elle n’osait même pas soupçonner…
    
    Rémy était à la fois excité par les volumineux seins d’Odile, mais aussi un peu inquiet. Quid de Louise ? Accepterait-elle de « payer » de sa personne pour lui permettre de réaliser son fantasme de grosse poitrine ? Marcel avait bien essayé quelques manœuvres d’approche, oculaires et verbales, mais Louise n’avait pas fait mine de comprendre, ni montré d’enthousiasme apparent. « Pour qui se prenait-elle, cette bourgeoise ? »
    
    L’apéritif, puis le repas, arrosé, se déroulèrent tranquillement. Rémy et Louise étaient assis d’un côté de la solide table de couvent, Louise et Marcel de l’autre côté. Odile voyait bien les regards appuyés que Rémy adressait à son corsage bien rempli, puis le sourire qui la remercia quand elle en dégrafa deux boutons (« qu’est-ce qu’il fait chaud, vous ne trouvez pas ? »), pour offrir à ses yeux ses seins, nus sous le chemisier et libres de toute contrainte. Louise s’efforçait d’ignorer les lourdes allusions grivoises de ...
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