1. Maison d'arrêt (5)


    Datte: 23/04/2022, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    Cela faisait maintenant 3 semaines que j’étais incarcérée, et je m’étais très vite faite à ma nouvelle vie.
    
    Je commençais mes journées par réveiller mon homme en lui malaxant les couilles tout en le suçant. C’était son plaisir favori à ce cochon ! Parfois il me laissait le finir avec ma langue, mais en général quand il avait bien mal aux burnes, Philippe me retournait brusquement et me prenait d’un coup.
    
    Pour ce qui est des fellations, il préférait que je lui en refasse une complète le midi devant tous ses hommes, pendant qu’il digérait son repas. C’était mon dessert comme il s’amusait à dire à la cantonade en riant.
    
    Pourtant, à cette heure question dessert, j’avais déjà été bien servie. En effet, comme tous les matins sous les ordres du boss, j’avais fait dégorger les queues de ses 8 lieutenants, sans compter celle de Paulo que Philippe avait accepté que je récompense ainsi de sa gentillesse.
    
    Les après-midi étaient beaucoup plus calmes. Je rangeais la cellule, je lisais, je me faisais belle pour mon homme. Je pouvais me reposer la mâchoire et appliquer une crème apaisante sur mon anus.
    
    Les journées passaient ainsi les unes après les autres sans que je m’en rende compte.
    
    Ce matin-là, comme la plupart des jours, mon homme avait décidé de m’enculer sauvagement.
    
    Bien que je commençais à m’y habituer, l’entrée brutale de sa grosse queue dans mon petit cul serré me faisait monter les larmes aux yeux.
    
    — Doucement chéri. Tu ne pourrais pas être un ...
    ... peu plus tendre avec ta petite putain ?
    
    — Non. J’aime trop lui défoncer son joli petit cul !
    
    — Espèce de salaud ! Tu vas voir si j’arrive à te choper les couilles !
    
    Je glissais alors ma main entre mes jambes à la recherche de ses pruneaux. Mes ongles avaient poussé et mon amant savait qu’ils ne lui feraient pas de cadeau. Un jeu du chat et de la souris commençait alors. Philippe esquivait ou repoussait ma main tout en me donnant des grands coups de queue dans le cul. Ce qu’il préférait, c’était m’attraper les bras et me les maintenir tendus au-dessus de mon dos. Il s’en servait alors de poignée pour m’enculer encore plus fort.
    
    A chaque fois, je poussais des hurlements de douleur tellement sa grosse queue me ramonait les entrailles avec vigueur. Mais bizarrement, alors qu’il me tenait pourtant fermement, je finissais toujours par arriver à dégager un bras, et ma main plongeait aussitôt entre mes jambes pour lui attraper les couilles. Je n’étais pas dupe, je savais parfaitement que Philippe était maso et qu’il se laissait faire exprès.
    
    Nous nous mettions alors à couiner tous les deux en chœur. Moi parce que sa grosse bite me défonçait l’anus au sens propre du terme, et mon homme parce que mes ongles s’enfonçaient dans ses testicules.
    
    — ARRRGHHHH.
    
    — MOUUIIIIII.
    
    Mon cri aigu de demoiselle répondait au râle rauque de mon amant alors que nous jouissions ensemble. Après avoir repris notre souffle, nous nous douchions et nous habillions pour aller au ...
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