1. Serveur d'un soir (5)


    Datte: 21/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Maximalia, Source: Xstory

    ... bouffer.
    
    Encore quelques coups de boutoir, le tiroir à couvert en dessous de moi clairement mis à contribution, faisant un bruit métallique impossible.
    
    Je le sommais de s’arrêter, on allait clairement réveiller la maisonnée.
    
    Au bout d’une bonne demi-minute, il se stoppa. J’avais l’impression qu’il n’était plus très loin de venir.
    
    Et je ne suis pas sûr qu’il mettait à exécution mes exhortations à se calmer.
    
    Il descendit son visage goinfre de vingt centimètres et me tira à lui. J’étais clairement sa proie. Il me portait en équilibre au milieu de la cuisine, en me léchant avidement les grandes lèvres. Il mordillait ensuite mon clito avec le bout de sa langue et ses incisives.
    
    C’était assez fou. Heureusement qu’il maintenait mon dos, car tout mon corps partait en arrière, pris d’un début d’orgasme.
    
    Je partais dans une extase redoublée quand ce dernier m’inséra trois doigts dans le vagin, les faisant tourner avec une certaine habileté.
    
    Et ce n’était pas des doigts de pianiste. Il aurait été charpentier que ça vous aurait aidé à vous figurer la chose aisément.
    
    En pleine jouissance, il recueillait un peu de ma mouille et je l’entendais marmonner :
    
    — Il est où le foutre du fiston, alors ?
    
    — Non, noooon... » me mis-je à demi-crier ! « La lumière ! »
    
    Didier me redressa. D’un œil, j’avais distingué sans ambiguïté que l’ambiance lumineuse avait changé à l’étage. Je voyais nettement les chambranles de la rambarde de l’escalier désormais.
    
    Il ne lâcha ...
    ... qu’un bref « merde ». En deux temps à peine, il me plaqua contre la table de la cuisine et se plaça derrière moi. Ma poitrine fit gicler une assiette.
    
    Je sentis qu’il perdit une seconde à se demander quel orifice il allait pénétrer puisque je discernais clairement son gland turgescent fuguer sur mon périnée. J’eus un frisson de peur. S’il me perforait l’anus comme il avait joué avec ma vulve, j’aurais hurlé.
    
    La tentation était immense, car il devait aimer la sodomie. Mais il dut parvenir à la même conclusion que moi et il ré-éclata avec entrain mon vagin.
    
    Un peu désorientée, je balbutiais :
    
    — T’es fou, stop. Y a quelqu’un là-haut.
    
    Mes yeux découvraient une partie de la cuisine que j’avais peu explorée jusque-là. Une porte entrouverte donnait sur un petit salon plutôt vieillot.
    
    Meubles massifs, papier peint ringard aux murs.
    
    Comme un animal pris au piège, j’y voyais mon échappatoire.
    
    Didier me rétorqua, étouffé dans ses râles inconstants :
    
    — J’y suis presque... Attends !
    
    Par chance, nous n’étions plus dans la ligne de l’embrasure de la cuisine. Depuis l’escalier, on ne pouvait nous voir directement.
    
    Cela offrait à mon hercule du petit matin un répit possible de quelques secondes.
    
    Mon ouïe faisait machinalement le ménage. Exit les râles de mon drôle. Je n’entendais que les crissements du bois produits par les marches de l’escalier.
    
    Assurément, quelqu’un descendait. Infailliblement, il s’agissait de la mère de Max.
    
    Didier continuait de ...