Serveur d'un soir (5)
Datte: 21/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Maximalia, Source: Xstory
... l’avouer, Didier en profita pour tirer sur le col lâche du T-shirt et faire bondir mes deux seins, dressés comme des obus glacés. A cette vision, le bougre en était encore plus ragaillardi.
Je devais bien avouer que j’avais été prise à mon propre jeu. Courir ou jouir, il fallait choisir.
J’avais tranché quelques minutes plus tôt, en délaissant Max pour une aventure plus audacieuse.
Un simple écartement de mes cuisses était la plus infaillible des invitations.
Didier présenta son chibre gargantuesque à l’entrée de mon vagin. Comme pour l’emmerder, et sans doute l’exciter plus encore, connaissant désormais son processus d’impulsion :
— Viens vite, le foutre encore chaud de ton fils devrait faciliter le passage...
Ce que je n’avais pas dit. Il me saisit alors les hanches et il enfonça d’un trait son gourdin dans mon vagin. Sans ménagement aucun.
Quel gueulard impétueux !
J’avais lâché évidemment un « putaaiiiin » de douleur. A tel point que je dus fixer un point dans la pièce pour surmonter la souffrance temporaire : je me souviens parfaitement du time code sur le micro-ondes. 5:35.
A peine avait-il pris le temps d’attendre que mon regard capterait bien son sourire de victoire, qu’il me ramonait déjà allègrement, de va-et-vient fulgurants et pleins. J’avais l’impression à chaque demi-seconde qu’il m’éventrait un peu plus.
Mon corps frêle reculait à chaque mouvement, c’est pourquoi il s’agrippait à mes reins pour me faire revenir.
Une fois ...
... bien en place, je ne bougeais plus. C’était un peu ingrat, j’aurais été un oreiller qu’il aurait pilonné de la même manière.
La seule chose qu’il avait pour lui, c’est son emballement et la générosité de sa queue, qui, dans la précipitation, m’offraient un certain plaisir.
C’est sûr, ce n’était pas Max qui par délicatesse et implication, s’occupait de tout mon être.
Là, c’était direct. Mais le fracas du type donnait à subir dru et j’avoue que ce n’était pas déplaisant. C’était physique, à la limite du violent, et j’aimais ça. Ma respiration haletante se muait en sursauts très audibles, de brefs « Oh ! » haut perchés et crescendo.
Lui avait fini sa transformation en buffle bourru. Recroquevillé, le souffle saccadé et râleur, il ne se rouvrit un peu que pour saisir subitement, d’une main, mon sein gauche, le téter impétueusement, en prenant soin de me caler toujours de sa main opposée.
Il était désormais 5h42 au micro-ondes et le rythme avait peu varié. En revanche, Didier avait surélevé à l’instant l’une de mes jambes comme pour mieux agrandir mon orifice. Mon fessier avait aussi glissé, c’est désormais moi qui me tenais en équilibre de la main droite, la raie de mon cul suait au-dessus du vide.
La situation m’exaltait beaucoup à vrai dire.
Mon bougre semblait endurant et le temps faisant, il était un peu plus nuancé dans ses approches. Ma mouille dégoulinait pas mal et je voyais clairement à son regard que ça lui faisait de l’œil. Il voulait tout ...