Étreintes tempétueuses
Datte: 15/08/2018,
Catégories:
fh,
bizarre,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
confession,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... attention. Ils deviennent comme deux hôtes gênants traversés de temps en temps par des douleurs étranges.
— Vous avez raison, je les trouve plus généreux, faits pour être palpés et tétés. Vos tétines sont noires et tendues.
— Elles seront pour votre bouche dans quelques minutes.
Catherine n’est plus qu’à quelques centimètres de Jean-Marie. Son corps est en feu. Elle ressent l’assaut des flammes sous sa peau, tout le long de ses membres, au cœur de sa poitrine, au fond de son ventre et de son sexe. Ces tressaillements, ces picotements traduisent le retour en vagues puissantes de sa sensualité. Elle n’est plus glaciale, insensible et comme éloignée de son enveloppe charnelle. Elle renaît, au-delà de toutes les caresses, qu’elle s’est parfois prodiguées afin de ne pas oublier cette part essentielle d’elle-même. Elle se tend, frémit, se détend, tremble de plus en plus fort. Elle sent la sueur poindre sur son front, sur ses tempes, au-dessus des lèvres de sa bouche, tout en haut de sa poitrine, là où se seins prennent naissance. Le désir la consume à nouveau, elle souffre de cette attente insoutenable qui la déchire et attise tous ses sens à lui en faire mal.
Il faut qu’elle déshabille Jean-Marie, qu’elle retrouve la peau de son compagnon, ses muscles, son torse puissant, ses membres fermes qui savent si bien l’emprisonner, l’enfermer à la briser et son membre épais, dur et doux à la fois. Vite ! Qu’il frotte son bouton, qu’il déjoue les pièges des lèvres de sa vulve, ...
... encore repliées mais déjà trempées.
— Jean-Marie, vous avez trop chaud. Vos joues sont rouges, vous suez à grosses gouttes. Il faut que je vous soulage.
Catherine attrape par le bas la polaire de Jean-Marie, elle la fait glisser le long de son torse sans le toucher même si elle en meurt d’envie. Elle devine au passage les contractions du corps masculin, lui aussi assailli par le désir. Ses gestes sont précis et s’accélèrent, tant elle est excitée par les trésors qu’elle va révéler dans la lumière. Chemise et T-shirt tombent rapidement sur le parquet.
— Vous étiez bien couvert. Vous aviez peur d’avoir froid ?
— Oui !
— Je me moque. Je ne devrais pas, je n’ai pas été aussi hardie que vous, je n’ai pas osé mettre le nez dehors. Nous sommes à des « années-lumière » de notre week-end d’automne. Notre « mini été charnel » comme nous l’avions appelé.
— C’est vrai. J’ai encore des frissons quand je me remémore ces moments.
— Des frissons uniquement ?
— Non. Il y a la brûlure insistante qui apparaît derrière le renflement de mon aine. Parfois elle est douloureuse et empêche que je concrétise cet appel au plaisir.
— Elle ressemble tout à fait à celle qui s’invite au creux de mon ventre, mais de plus en plus rarement. Les images de ces instants ne sont plus chargées de la même magie. Cette douleur me manque terriblement. Sans elle, je ne me sens plus femme. Maintenant à vous redécouvrir c’est différent.
Catherine pose une main chaude sur ma poitrine, au-dessus de mon cœur. ...