1. Étreintes tempétueuses


    Datte: 15/08/2018, Catégories: fh, bizarre, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, confession, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... Catherine ne perd plus rien de tous les bouillonnements de mon piton volcanique qui pointent tout au sommet de la faille qui entaille mon gland. Ce sont de grosses gouttes qui sourdent lentement. Elles s’épanouissent, s’étalent sur la chair violacée et surchauffée qui ne les retient pas. Les doigts de Catherine s’emparent instantanément de ce suc. Graissés par cet onguent bienvenu, ils massent fermement mon membre qui conserve toute sa rigidité. Elle prend tout son temps maintenant pour parcourir mon sexe. Il ne combat plus, il s’est rendu et lui a offert en guise de rançon plus de semence qu’elle n’en espérait, un ruissellement magique, un lait cosmique pour calmer toutes ses angoisses charnelles.
    
    Tandis que je me libérais et que je l’inondais outrageusement, Catherine s’écoulait elle aussi sur mes doigts, au creux de ma main. Bouillant et collant, son jus se répand en quelques secondes. Généreux, abondant, son liquide la trempe et amollit toutes ses chairs, il brise aussi la barre inquiétante de dureté qui encerclait l’entrée de sa vulve. J’entre plus profondément dans son vagin, j’y glisse, je m’engouffre, aspiré par une force mystérieuse qui me guide. Je me retire lentement, insensiblement, je reviens, je m’enfonce toujours plus écartelant les parois de son puits. Elle gémit, elle se crispe encore et plaque son visage au creux de mon cou, prête à me mordre afin de tempérer mon intrusion.
    
    À la limite de l’épuisement, endolories, nos deux mains, dégoulinantes, ...
    ... luisantes, échauffées par ces flux de sperme et de cyprine se trouvent enfin. Elles se referment l’une sur l’autre, elles se serrent, elles se frottent, elles cherchent à se transmettre la crème qui les recouvre. Nos doigts avides s’en mêlent à leur tour et participent à ce mélange érotique, à cette fusion des liquides. Nos sucs ne font plus qu’un et je porte mes doigts à hauteur de la bouche de Catherine. Elle m’offre les siens. Nous nous dégustons, nous avalons et nous absorbons ces longs bâtons de chair de peau et d’os. Nos lèvres excitées, gourmandes, les emprisonnent et les mordent afin de les maintenir au fond de nos gorges afin que le nectar, fruit de nos intimités s’y répande abondamment. C’est doux, sucré, plus épais que nos salives, cela chatoie sur et sous nos langues, cela enflamme le creux de nos joues.
    
    Nos bouches, nos langues se lassent pourtant de ces drôles de sucettes qui sont déjà asséchées. Elles se retrouvent et s’activent comme jamais, trop heureuses de baigner l’une et l’autre dans un univers aussi doux et onctueux. Nos corps se sont rapprochés, la pointe de ma verge se loge naturellement contre le sexe entrebâillé de Catherine. Ils s’épousent, s’avalent eux aussi puis ne bougent plus, figés dans cet instant de plaisir. Nous nous balançons dans une étreinte qui semble ne pas devoir prendre fin.
    
    La violence de la tempête, la noirceur irréelle du ciel se sont envolées tout au long de notre fusion. Le temps exécrable, inhumain, accompagné de ces instants de ...