Étreintes tempétueuses
Datte: 15/08/2018,
Catégories:
fh,
bizarre,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
confession,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... Maintenant qu’il est à bout, je me jette sur lui. Je le frotte, je cours sur lui, je l’attrape entre mes doigts, je le pince, je le triture afin qu’il continue de grossir et de se gorger de plaisir. Le ventre de Catherine ne cesse de se tendre, de se durcir, de s’éloigner de mon corps pour le retrouver aussitôt. Je titille frénétiquement son bouton tandis qu’un doigt plonge un peu plus bas et commence prudemment de pénétrer dans sa fente qui mouille intensément et semble se répandre jusque sur ses cuisses. Je découvre à l’intérieur de sa caverne sensuelle une barre étrangement dure, une grosseur qui m’a toujours fasciné. Comment peut-elle, tout en s’inondant de son jus qui maintenant suinte de partout et recouvre à chaque passage mes doigts d’un nectar chaud et collant, se transformer en un bloc de pierre ?
— Oui. Oui. Continuez ! halète-t-elle.
Elle gémit longuement, elle râle de plus en plus fort. Je ne comprends pas les mots qu’elle prononce. Elle se creuse, elle se cambre, elle se referme sur elle-même avant de se relâcher subitement, j’ai parfois l’impression qu’elle me repousse ou qu’elle refuse de se livrer complètement. Ses épaules, son dos, le creux de ses reins se couvrent de sueur et mes doigts glissent sur sa peau qui se trempe peu à peu. Je parviens enfin à m’engager dans son anus. Je reste là, à l’entrée, à l’orée de sa cavité mystérieuse et envoûtante. Je suis à la fois possesseur et prisonnier de ce premier anneau de chair. Je ne veux pas aller au-delà, ...
... partir à la recherche d’autres sensations. Je suis persuadé que le plus émouvant sensuellement est ici, au contact de ce cercle qui sous la pression la plus infime de mes doigts se resserre et se desserre. Une légère rosée vient accompagner mes assauts, elle va accélérer ma prise de pouvoir sur son intimité, pourtant je n’abuse pas de cet avantage.
Bousculée, fragilisée par mes caresses entreprenantes, Catherine poursuit pourtant la traite de mon sexe. Elle l’a rapidement porté au faîte de son érection. C’est un manche véritable qu’elle manipule avec dextérité et fermeté. Sa main commence toujours par enfermer et presser mon gland comme si elle voulait l’essorer et faire couler mon jus, elle termine sa course sur mes testicules qu’elle comprime de plus en plus vigoureusement, puis elle repart. Elle surmonte à nouveau le sommet de ma queue, tout violet, congestionné d’un afflux de sang. Elle le loge au creux de sa main, elle le polit avec ardeur, il doit étinceler, briller d’autres feux pas encore allumés. Elle s’attarde sur lui, sur sa tête dont elle écarte chaque quartier de chair. Elle agrandit à loisir la minuscule fente qui sépare presque en deux cette boule magique et majestueuse. L’œil qui s’ouvre largement attire toute son attention, que cherche-t-elle ? Que vient-elle de découvrir ? Il est là ! Les prémices de mon sperme affluent et se répandent en une mousse transparente sur toute la surface de mon gland, ils mouillent sa paume, ses doigts. Je contemple aussi ce ...