1. L'ombre du Passé Ch. 09


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... dans son ventre s'était immobilisée, elle grossissait encore à la vue de l'ignoble enculage.
    
    D'un coup de reins il se propulsa au fond de sa gaine, elle hurla tandis que son boyau se dépliait, faisant place au chibre triomphant qui la rem-plissait jusqu'à l'estomac.
    
    Perforée jusqu'au cœur, les deux membres se mirent en action, sortant ensemble de ses orifices pour y retourner de toutes leur longueur, se frottant l'un contre l'autre au travers du périnée.
    
    Elle sanglotait convulsivement, à chaque coup de boutoir elle se sentait éventrée, à chaque retrait, il lui semblait que ses boyaux sortaient de son ventre accompagnant les immondes visiteurs
    
    Lassé de ses pleurs, Miloud la bâillonna de son braquemart imposant.
    
    Si la taille du bonhomme était réduite, en compensation celle de son chibre était énorme, il dépassait en longueur et en grosseur tout ce qu'elle pouvait imaginer, d'emblée, s'enfonçant au fond de son palais, il força aux commissures des lèvres, les déchirant pour mieux entrer dans un élan inarrêtable.
    
    La bouche, le con et le cul plein des trois types, inerte, hébétée, elle se laissait faire comme une poupée de son, masturbant à pleine mains les deux chibres libres quand ses tourmenteurs le lui demandÈrent, s'appli-quant à bien faire de fa‡on tout à fait mécanique, alors que de ses organes malmenés, des ondes de souffrance montaient jusqu'à son cerveau, comme engourdi, anesthésié par la douleur.
    
    Enfin elles les sentit se raidir, et elle ...
    ... ressentit un réel soulagement au torrent de sperme qui lui englua les fesses, à son tour Smaïl se vida dans sa matrice, puis les yeux exorbités, elle absorba en hoquetant, en suffocant le flot de semence que Miloud lui injecta en longues giclées dans l'œsophage, lui engluant les amygdales alors mˆme que les deux qu'elle branlait jaillissaient à leurs tours sur sa poitrine plantureuse, cou-vrant ses seins de filaments blanchâtres.
    
    Ils changèrent alors de place, un des deux branlés en bouche, l'autre en ventre, elle dilata désespérément son anneau, poussant comme pour déféquer pour mieux admettre l'énorme gourdin de Miloud dans son anus, des éclairs éclatant derrière les paupières, elle força encore logeant l'épaisse byroute dans son fondement, un à un les obstacles cédaient devant l'impitoyable bélier, cela craquait dans son cul, elle crai-gnait d'être mutilée, et pourtant elle forçait encore pour faire cesser le calvaire de cet interminable empalement.
    
    Enfin elle le sentit bien calé au fond de son rectum, les poils de ses bourses lui chatouillant les fesses, elle respira à fond, appréhendant la terrible douleur qu'allait endurer lorsqu'il se mettrait en branle.
    
    Ce fut encore pire que tout ce qu'elle craignait, elle s'évanouit plusieurs fois, folle de souffrance, ne revenant à elle que pour repartir dans les limbes.
    
    C'est dans un corps inerte qu'il se soulagea avec abondance.
    
    De retour à la conscience, elle enquêta du doigt dans son anus, pour apprécier l'étendue des ...