1. L'ombre du Passé Ch. 09


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Chapitre 9 : La vie s'organise.
    
    Bientôt, la tâche de chacune se diversifia, ainsi Arlette Dumas, qui en plein après-midi se promenait dans la ville haute, se livrant à une partie de lèche vitrines, se vit aborder par un arabe à la mine patibulaire, la cinquantaine, qui l'invita à prendre place dans sa Mércédés rangées quelques mètres plus loin .
    
    Il s'assit au milieu du siège arrière et la pria de le rejoindre, profitant du moment ou Arlette enjambait le marche pied, pour glisser avec décision sa grosse main entre les cuisses disjointes, empaumant à pleine main le sexe dénudé, le malaxant cruellement avant qu'elle ne s'assoit, jupes relevées, serrant frileusement les fesses au contact du cuir du siège.
    
    Il introduisit fiévreusement ses doigts boudinés dans son intimité, défri-pant les grandes lèvres, les suivant, avant d'enfoncer son index jusqu'à la dernière phalange dans son con vibrant.
    
    Arrachant sa fermeture éclair, il fit jaillir un gros membre noueux, sur-monté d'une grosse prune bistre, qu'il décalotta lui même, avant de la saisir par les cheveux, la contraignant à se pencher sur ses genoux, lui forcent la barrière des dents d'une queue impérieuse, s'enfonçant jus-qu'au fond du gosier pour lui projeter des salves de jus acres au fond de la gorge.
    
    Elle resta longuement inclinée sur son chibre, le toilettant de sa langue habile, avant de la ranger dans son slip.
    
    Elle si sage, il y a encore huit jours, se retrouvait dans une voiture, la queue d'un ...
    ... parfait inconnu projettant en saccades sa purée au fin fond de sa bouche, avant que docilement elle ne la nettoie soigneusement, retroussant les replis du prépuce, aspirant les dernières gouttes du pré-puce, sans un mouvement de révolte, sans même s'enquérir de la suite de l'aventure.
    
    Bientôt la voiture stoppa devant un hôtel louche de la périphérie, la main aux fesses il la poussa à l'intérieur, lui dégrafant sa jupe, avant de la propulser ventre nu entre les rangées de consommateurs qui détaillaient ses charmes étalés.
    
    La jupe à la main, elle pénétra dans un vaste bureau qui semblait être la tanière du fauve qui l'entraînait, quelques sbires, aux mines sombres, à l'œil allumé les suivirent dans leur ascension, et c'est à cinq qu'ils se re-trouvÈrent dans la pièce.
    
    La le gros arabe fit les présentations :
    
    - Mes hommes : Marc, Denis, Smaïl, Rachid et Miloud mon bras droit.....
    
    - Madame Arlette Dumas, l'épouse du commissaire principal, res-ponsable de tous nos ennuis, profitez en vous aurez jamais une telle occasion de vous venger ...... Prenez la comme vous voudrez ...... Vous allez la saillir tout l'après-midi ...... Je veux qu'elle s'en rappelle!.....
    
    A ces mots, sur un signe de la main, Miloud la saisit par un bras et l'en-traîna dans une des chambres attenantes.
    
    Marc, l'œil luisant de convoitise, le front bas, l'air borné, Denis, un gros blond fadasse, Smaïl un grand arabe, dégingandé, la figure barrée de cicatrices, Rachid gros , onctueux, les lèvres ...
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