1. Réconfort et vieilles dentelles VIII. Martine (ou la coquine qui cachait bien son jeu) (2)


    Datte: 16/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... de petites secousses frénétiques, je sentis que ça montait fort, son regard était trouble, mais il soutenait le mien.
    
    Moi j’avais sorti ma queue et avais commencé à m’astiquer, mais à la voir, on pouvait se demander si elle s’en était rendu compte.
    
    Alors avant qu’elle décharge, je lui ordonnai :
    
    — Fous-toi à genoux, là, devant moi, les cuisses bien écartées, et continue à te branler !
    
    Elle s’exécuta, tomba littéralement à genoux, je lui mis ma queue raide et arquée quasiment sous le nez, tout en continuant à me polir la colonne.
    
    Elle loucha presque dessus, j’accélérai le rythme ; elle m’excitait, ce spectacle obscène m’excitait : une quinquagénaire, les cuisses grand écartées, à moitié partie, en train de se branler comme une gamine.
    
    Au moment où je sentis monter moi aussi le plaisir, je lui jetai d’une voix rauque :
    
    — Suce-moi, prends-moi en bouche. Je te préviens, je vais partir, je vais tout lâcher dans ta bouche, et tu vas tout avaler !
    
    A peine mon gland était-il dans sa bouche que je sentis l’explosion arriver : je giclai, elle ferma bien les lèvres, et je la sentis déglutir en gémissant : elle était en train de jouir également !
    
    Cette expérience nous laissa tous les deux pantelants, vidés. Elle finit par se relever, les doigts encore gluants de sa sève. Je pris sa main et suçai ses doigts. Elle sourit, m’embrassa. Elle alla se nettoyer un peu au lavabo.
    
    — Moi je n’ai pas besoin, tu m’as bien nettoyé, lui dis-je.
    
    Je ramassai sa culotte ...
    ... :
    
    — Confisquée ! Tu vas finir ta journée de travail sans culotte. Ça me plaît de te savoir le cul à l’air sous ta robe...
    
    Elle me sourit avec une petite moue mutine, que je pris pour une protestation qu’elle n’osait pas exprimer. Aussi je rajoutai :
    
    — Tu es ma petite salope. Cette culotte est mon titre de propriété. Ton cul m’appartient pour la journée. Et quand on est une petite salope, on doit assumer...
    
    Et, continuai-je, ça m’excite de savoir que tu es disponible pour moi sous ta robe pour le restant de la journée.
    
    Je mis sa culotte dans ma poche :
    
    — Je te la rendrai la prochaine fois que je viendrai chez toi. Ça me fera une occasion de revenir.
    
    Là, elle eut un sourire radieux. Je lui pelotai la fesse à travers le lainage de la robe, émis un « hummm » gourmand, puis lui administrai une bonne claque sur cette croupe insolente et voluptueuse :
    
    — Allez, va bosser feignasse !
    
    Elle prit ça avec bonne humeur puisqu’elle me savait taquin. Je pris un air songeur, réfléchissant :
    
    — Tiens, je ne me demande si on ne va pas instaurer cette règle entre nous : quand on bossera ensemble tu devras venir sans culotte. OK ? Comme ça je saurai que tu es à moi.
    
    Elle partit, ravie, sans répondre, mais en me regardant avec un sourire énigmatique qui ressemblait à un acquiescement.
    
    Je savais qu’elle était heureuse de cette nouvelle situation, que cela débutait une relation entre nous, et que pour elle c’était déjà ça. Je savais que ça allait lui faire du bien au ...
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