1. Réconfort et vieilles dentelles VIII. Martine (ou la coquine qui cachait bien son jeu) (2)


    Datte: 16/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... me faisait bander.
    
    Je commençai : une bonne claque ferme et bruyante s’abattit sur la fesse droite. Elle poussa un petit cri étouffé. Puis, de la main gauche, je claquai à l’identique la fesse gauche. J’appréciai la vue des ondulations brèves qui agitèrent sa chair molle.
    
    J’étais donc parti pour la fesser à deux mains, alternativement main droite main gauche, fesse droite fesse gauche, pas de jalouse ! Son beau valseur épanoui tressautait à chaque fois (un spectacle que j’aime !)
    
    — Penche-toi un peu en avant. Offre mieux ton cul.
    
    Au bout d’une dizaine de claques, je commençai à accélérer – il ne s’agissait pas de s’endormir. J’allais te la réveiller, moi.
    
    Son fessier commençait à rosir et à voir çà et là les empreintes de mes doigts.
    
    — Ça va, je te fesse bien ? Tu apprécies ? Tu as ce que tu as voulu ?
    
    — Hmmm oui... répondit-elle, le son étouffé par son bâillon-culotte.
    
    — Tu mérites d’en recevoir une bonne... et comme je sais que tu peux encaisser... Je vais te fesser sérieusement, à partir de maintenant...!
    
    Elle ne protesta pas, ne montra aucun signe d’inquiétude. Ça ne lui faisait pas peur. Et de plus, au pire, elle savait qu’il y avait toujours un mot-clé pour que j’arrête, au cas où. Elle savait que j’étais réglo.
    
    La situation l’excitait. Elle n’avait certainement pas envie que ça s’arrête déjà.
    
    Je passai donc à la vitesse supérieure et à un cran au-dessus : je commençai à lui claquer la fesse droite de ma main droite en salves et à un ...
    ... rythme accru, en veillant bien à couvrir toute la surface (ne pas claquer deux fois de suite exactement la même zone) ; puis je passai à la fesse gauche, avec ma main gauche, même rythme, même méthode.
    
    Ses reins ployaient à chaque attaque, son corps poussé en avant, comme avec le recul d’un fusil.
    
    Elle tenait bon, elle se cramponnait, appuyée contre la table, elle commença à gémir – sûr que sa peau, si fine, devait commencer à lui cuire.
    
    Tout son corps désormais était agité de petites secousses sous l’impact de la drache qui tombait dru comme à Gravelotte.
    
    Mes mains s’égaraient sous l’élan de la claquée colérique à la lisière des cuisses, sur le haut des fesses et près des hanches : toute la surface de sa mappemonde virait au rouge. Je commençai à avoir mal aux mains et des courbatures dans les bras.
    
    Je lui intimai – d’une voix pas trop forte (j’avais trop peur qu’on l’entende du couloir), mais bien audible et d’un ton ferme :
    
    — Allez, fous-toi à quatre pattes, je vais te finir !
    
    Elle se retourna, me regarda une seconde, les yeux brillants, hésita un instant comme si elle allait dire quelque chose, mais elle ne retira pas la culotte de sa bouche sans se soucier du ridicule qu’elle renvoyait. Elle aurait dû trouver ça humiliant, mais elle était trop excitée pour ça (elle me le confirma plus tard, lors d’une confidence.)
    
    Elle s’accroupit, posa ses mains à plat sur le sol, s’installa à quatre pattes, reposant sur les avant-bras.
    
    Pendant ce changement de ...
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