Réconfort et vieilles dentelles VIII. Martine (ou la coquine qui cachait bien son jeu) (2)
Datte: 16/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... retires ta culotte. Tu écartes un peu les jambes.
Elle s’exécuta immédiatement, sans faillir, lentement, avec un air qui trahissait un grand trouble.
Elle se contorsionna pour extraire sa culotte – une culotte en dentelle bleue – qu’elle sortit de dessous sa robe. Je tendis la main pour qu’elle me la donne, et la lui pris.
— Maintenant, tu remontes ta robe sur tes reins et tu la retiens tout en gardant tes mains sur le divan d’examen : fais comme tu veux, mais tu y arrives, tu le fais, tu te démerdes, je ne veux pas le savoir.
Mais, maligne, elle obéit et je vis apparaître sa croupe épanouie surmontée de ses poignées d’amour ; elle maintint le pan avant de sa robe afin qu’elle retombe pas, avec ses mains posées sur le lit d’examen.
Je m’approchai plus près. Je m’apprêtai à lui placer sa culotte dans la bouche :
— Comme ça on ne risquera pas d’entendre tes cris dans les autres bureaux ni dans les locaux sociaux.
— Y a pas de risque, c’est bien isolé phoniquement, ici, osa l’effrontée.
— Je vois que Madame n’a pas froid aux yeux. Et que la situation l’excite, au contraire. Je suis sûr que tu es déjà mouillée, ma petite salope.
— Oh oui... Je le sens.
Je ne pus m’empêcher de vérifier : un bref passage de mes doigts entre les lèvres de son sexe trouva cette humidité glissante si émouvante. Elle frissonna, redressa la tête.
— Et maintenant, comment penses-tu être fessée ? Doucement ? Sévèrement ? Une fessée lente et progressive ? Ou une claquée ...
... forte, puissante, et sans pitié ?! Puisque tu m’as fait remarquer que c’était bien « isolé phoniquement », j’ai tendance à en déduire que tu as envie de crier sous les claques...
— Euh... entre les deux ? Enfin, c’est à toi de choisir... Tu es le Maître, tu décides.
— Je vois que tu apprends vite. Ou plutôt qu’il y a des mois que tu réfléchis à ce genre de situations... chez toi, en fantasmant... en te branlant.
Eh bien tu as raison : mais comme tu en as très envie, tu vas être fessée comme tu le mérites. Tu as plus de cinquante ans, tu n’es plus une gamine, et j’ai constaté que tu sais encaisser.
Et je sens que tu as envie d’être punie pour cette envie irrépressible aussi, cette envie qui t’a fait me chercher et me trouver jusque dans mon bureau, comme une femelle en chaleur. Je vais te fesser comme la salope que tu es !
Je savais que ces mots crus et durs l’excitaient terriblement, d’autant qu’elle me savait capable de tendresse, et que j’étais plus un érotomane qu’un sadique : je voulais son plaisir, et le mien, notre plaisir à tous les deux, tous les deux en harmonie.
D’ailleurs, reculer un peu me confirma cette pensée : sa mouille brillait sur l’intérieur de ses cuisses, près de ses grandes lèvres, et je distinguais les pointes de ses seins qui dressaient et poussaient le fin lainage.
Sa posture et sa tenue étaient des plus excitantes aussi. La voir ainsi, cuisses et fesses nues en chaussures, robe retenue sur les reins, jambes écartées, m’inspirait et ...