Formateur est un beau métier – Nathalie - Histoires de Sexe

Formateur est un beau métier – Nathalie

... mais pas trop, il convient de régler le curseur à la bonne position entre vide-couille et grande dame, allant parfois un peu plus vers une extrémité ou l’autre, en fonction du contexte. Mais je pense que je m’en sors bien, si j’en crois ses cris, ses ongles et ses bras qui me serrent parfois tellement fortement que je pourrais étouffer !

Toutefois, il convient d’avoir une bonne constitution pour survivre aux étreintes de ma nouvelle maîtresse !

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, car il arrive un moment où le corps est rompu, fatigué, hors service. Je suis allongé sur le dos qui me picote un peu, je serre tendrement Nathalie contre moi, son bras sur ma poitrine, sa jambe sur mon ventre. Je me laisse aller à la douceur et la chaleur de sa peau. Je suis bien, très bien.

Quelques minutes plus tard, s’écartant un peu, elle s’étire voluptueusement :

— Hmmm, j’ai bien fait de jeter mon dévolu sur toi. Tu es attentionné et bon amant. De plus, tu es libre et tu habites à deux pas de chez moi.
— Dois-je comprendre que tu valides ma candidature ?

Ajustant une mèche, elle sourit :

— Tu as passé brillamment la première étape !
— Tu m’en vois très heureux et flatté !

Elle se redresse, ses seins nus presque sous mon nez, ses bras autour de mon cou :

— Viannet, je vais mettre les points sur les i.
— Je t’écoute…
— Je suis une femme mariée, et le seul gros défaut de mon mari est qu’il n’est plus mon amoureux ni mon amant. Pour le reste, je n’ai rien à lui ...

... reprocher.
— Je comprends…

Traduction en clair : je n’ai pas l’intention de le quitter, je ne fais que m’amuser au-dehors avec des types qui me plaisent. Ce qui me convient, la dame ne sera pas embêtante. Nathalie approche son visage du mien :

— Très bien… Passons à la suite : j’ai eu divers amants, et j’avoue que j’en ai encore. Je fricote de temps en temps avec un collègue, et ci et là avec un type rencontré sur le web. Si tu veux toujours de moi, il faudra que tu me partages avec d’autres hommes.

Ça, je m’en doutais déjà. Je réponds par une maxime :

— Il vaut mieux être plusieurs sur une bonne affaire que seul sur une mauvaise…
— C’est bien dit. Il faudra aussi que tu te contentes de ce que je peux t’offrir, et je n’aurai pas souvent de disponibilités. Souvent, ce sera à la dernière minute. En clair, ce sera à prendre tout de suite, ou jamais.
— J’ai compris le deal, Nathalie…

Elle pose son front contre le mien :

— Bien sûr, je n’exige pas l’exclusivité, mais la priorité. Si un jour, tu tombes amoureux d’une autre femme, dis-le-moi franchement, je comprendrai, tu n’auras pas droit à une scène de ménage avec des assiettes qui volent dans tous les coins.
— C’est rassurant.
— Je suis un peu possessive, tu as pu le remarquer. Honnêtement, j’aimerais te garder rien que pour moi, mais je sais aussi que je ne suis pas en bonne position pour exiger ce genre de chose. J’ai envie que tu sois mon amant pour un bon bout de temps. Mais évite de tomber amoureux de ...