Belle-sœur de l'Empereur - 2
Datte: 14/04/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
yeuxbandés,
historique,
couple,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... à bien des épouses, vous avez continué à vous occuper de moi. Je vous en remercie vivement. Ce pauvre Randolph ne peut pas dire la même chose, lui qui a été obligé de prendre comme maîtresse le sosie de son épouse.
À ces mots, je proteste :
— Obligé, obligé, c’est vite dit ! Randolph aurait pu attendre un peu afin de renouer sereinement avec sa femme comme avant.
— Il a attendu, croyez-moi, mais sa femme d’avant n’est plus jamais revenue.
— Ah… et pour la maîtresse, sa femme ne se doute de rien ?
— Elle est au courant. Ils ont déjà eu des disputes à ce sujet. Mais son rôle de mère est primordial, elle considère que la bagatelle est une époque révolue. Il lui a mis le marché en main : ou bien, son couple redevenait comme avant, ou bien il gardait sa maîtresse. À prendre ou à laisser. Une première chez les Soulzbach.
— Ah oui… Et alors ?
Devant ma mine attentive, Karl sourit :
— Eh bien, je vous rappelle qu’il a toujours une maîtresse…
— Ah oui, ma question était idiote !
— Chose que vous n’êtes pas, ma mie !
— Je suis heureuse de vous l’entendre dire. Je reviens à mon propos du début. J’ai fait mon devoir, disais-je.
Intrigué, mon mari attend la suite :
— Oui… et ?
— Je ne souhaite plus avoir d’enfant. Quatre, c’est bien, non ?
— Hummm… ça me convient.
— Donc, et si… et si nous avancions d’un pas de plus dans nos… turpitudes…
— C’est-à-dire…
À son petit sourire en coin, je sens que Karl ne va pas me faciliter la tâche :
— Je sais que c’est ...
... votre fantasme, car parfois vous en parlez à demi-mot.
— J’ai tant de fantasmes, ma chérie !
— Auriez-vous décidé de me laisser patauger ?
— J’aime énormément entendre certains mots de votre bouche…
— Je sais… je sais… Mais comme vous n’êtes pas gentil, je ne vois pas pourquoi je le serais avec vous…
Puis lui tournant prestement le dos, je quitte aussitôt la pièce pour aller m’occuper de mes enfants, en dandinant ostensiblement du bassin !
Curieusement, Karl n’a pas essayé de m’approcher du reste de la journée. Je suppose qu’il attend ce soir, quand nous serons au lit pour régler ses comptes. Je le connais assez pour penser ce genre de chose. Quand les enfants se sont endormis, je me dirige calmement vers notre chambre. À ma grande surprise, Karl n’y est pas. Intriguée, je m’avance vers le lit, quand soudain, je suis ceinturée par deux bras puissants. Je pousse un petit cri, puis je lance une réprimande :
— Karl, voyons !
Une voix déformée retentit à mon oreille :
— Qui vous dit que c’est Karl ?
— La prochaine fois, mon cher mari, changez votre odeur ! Et mettez des gants, car j’ai bien reconnu vos mains.
Aucune réponse, mais les deux bras me gardent toujours captive. Quelques instants plus tard, Karl, qui a repris sa voix normale, me dit :
— Je vous libère, mais ne bougez pas.
— Si ça vous amuse…
Karl me libère. Comme convenu, je ne bouge pas, il bande aussitôt mes yeux. Sans doute un nouveau jeu, mon époux est très imaginatif dans pareil cas. Je ...