Belle-sœur de l'Empereur - 2
Datte: 14/04/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
yeuxbandés,
historique,
couple,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... lèvres est significatif de ce qu’il souhaite. Peu après, ce sont bien trois hommes qui sont à présent en moi.
En ce qui concerne les hommes, je ne sais pas si le nombre de partenaires sur une même femme les émule, mais j’ai l’impression qu’ils sont encore plus déchaînés étant à trois plutôt qu’à deux. Mes fesses subissent un va-et-vient d’enfer, tandis que mon connil est farfouillé à fond ! Durant ce temps, je réserve une belle fellation à celui qui est dans ma bouche.
Si mes lèvres n’étaient pas si occupées, je crierais de joie et de plaisir. C’est franchement quelque chose que d’être le jouet d’hommes qui vous baisent, je ne vois pas d’autre mot. Oui, ils me baisent, enfoncés dans mes trois trous bien comblés. Je suis dans l’attente qu’ils y déversent leur sperme, des litres de foutre pour me faire déborder !
— Aaah !
Un premier râle monte dans mon dos, un homme se déverse sans retenue dans les profondeurs de mon anus bien élargi. J’adore quand une verge jaillit en moi, la preuve indéniable d’un désir qui s’assouvit !
— Ah ! Avalez-moi tout ça, petite garce ! Ah que c’est bon !
Sans doute stimulé par ce premier mâle qui s’est laissé aller, l’homme que je suce remplit ma bouche d’un sperme assez épais. Je viens de reconnaître Karl au son de sa voix. Une bouffée de chaleur monte en moi, irrésistible ! Avec application, j’avale tout ce flot qui tapisse ma langue, mon palais et mes dents.
— Rhaaa !
Le troisième homme cède ! Sa production de foutre ...
... sera-t-elle à l’image de la grosseur de son mandrin ? Je le saurais dans quelques instants. En attendant, lui aussi, il m’inonde en dedans, participant à mon remplissage de toutes parts ! Cette simple pensée d’être triplement pleine attise mon plaisir, ouvrant la porte à une jouissance qui ne demande qu’à me submerger !
Oui, je suis à la fois une vulgaire putain entreprise par trois mâles, et en même temps une femme si puissante, remplie du désir avide des hommes, et ravagée par ma propre jouissance.
Affranchie de toute contrainte, je décolle au lointain, par-dessus les nuages, enveloppée dans la moiteur de mon paradis sur terre, mon corps zébré d’éclairs de bien-être et de béatitude.
Tout est blanc, cotonneux, moutonneux…
Je suis si bien… loin… si loin…
Ailleurs…
Je suis repue, fourbue, mais heureuse. Comme s’il était de l’eau, tout mon corps se détend, se répand. Des lèvres s’aventurent sur mon ventre, puis descendent plus bas, toujours plus bas. Ça me chatouille, ça me gratouille, je résiste, mais ça me titille de plus en plus. Je proteste mollement :
— Arrêtez… ça me fait plein de guili-guili !
Mais je parle dans le vide, les lèvres continuent de plus belle ! Je résiste encore un peu, mais c’est peine perdue. N’en pouvant plus, je me redresse vivement de mon oreiller, tentant maladroitement de repousser cette tête qui me donne des démangeaisons.
— Arrêtez ! Ça fait trop de chatouilles !
Soudain le bandeau glisse. Je suis tellement surprise que je ...