1. Colocation ambiguë - chapitre 1


    Datte: 13/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Novella, Source: Hds

    ... mêlèrent un instant dans leur regard, puis leurs yeux se posèrent sur mon corps nu.
    
    Je dois vous faire un dessin ou vous avez compris ?
    
    — Tu… T’étais pas censée nous surprendre, bredouilla Simon.
    
    — Il fallait peut-être penser à ne pas baiser sur le canapé, dans ce cas, dis-je, un air malicieux aux lèvres.
    
    Je n’avais qu’une hâte, que ce sentiment bizarre s’estompe au profit de l’excitation et du désir. Mais ils restaient complètement prostrés, la bite à l’air, les yeux rivés au sol pour ne pas croiser mon regard brûlant, qui laissait transparaitre quelques reproches. S’ils avaient tant envie de moi, pourquoi ils n’avaient jamais rien tenté, rien montré ?
    
    Alors, je pris les choses en main, laissant parler mon côté le plus animal. J’étais en chaleur, je n’avais besoin que d’une chose : que mes trous soient comblés rapidement.
    
    Je les observai tour à tour. Simon s’était ramolli dans sa capote. Théo était en demi-molle, tout nu. J’allais commencer par lui. Je m’accroupis face à lui, écartai un peu ses jambes pour me frayer une petite place et effleurai sa verge du bout des doigts. Il frissonna et me repoussa doucement. Ses doigts se perdirent dans mes cheveux. Je relevai les yeux vers lui et les ancrai un instant dans les siens. J’y trouvai une lueur particulière. Il avait envie de moi, c’était certain, mais à la caresse qu’il fit sur ma joue, je compris qu’il y avait autre chose. Il tenait à moi. Moi aussi. Tous les deux, je les aimais profondément, j’aurais ...
    ... pu tout faire pour eux, ils auraient pu tout faire pour moi. C’était ce qui rendait notre relation si particulière. Peut-être aussi ce qui les avait poussé à m’envier sans jamais passer à l’acte, par peur de la détruire.
    
    — Laisse-moi faire, susurrai-je.
    
    Je passai une main une main sur mes lèvres humides, puis la reposai délicatement sur sa bite de nouveau tendue. Je commençai des va-et-vient lents et sensuels avant d’emprisonner son gland entre mes lèvres et de le titiller du bout de la langue. Il grogna. Du coin de l’œil, je vis Simon se rapprocher de nous et nous dévisager avec envie.
    
    Ne t’inquiète pas, ce sera bientôt ton tour, mon chat.
    
    Je laissai mes doigts glisser sur ses bourses et les malaxer délicatement alors que j’enfonçai sa bite tout au fond de ma bouche. Je variai le rythme, je descendais, je remontais, je lâchais tout, je revenais à la charge. Il aimait. Mon pouce s’égara sur son anus encore lubrifié. Il s’y enfonça sans que je n’aie à forcer. Théo eut un spasme de plaisir. Je sentis quelques gouttes salées perler sur la langue. Il se retenait, je le sentais. Il n’était pas sûr de pouvoir se lâcher. Je relevai les yeux et tombai dans les siens, fous de plaisir. Je lui lançai un regard sensuel et redoublait d’intensité dans mes caresses buccales.
    
    — Crache, ordonna Simon. Elle attend que ça…
    
    Théo fronça les sourcils, l’air de me demander s’il disait vrai. Je souris, sa bite toujours en bouche. Alors, je le sentis se détendre. Et je repris mon ...