1. Colocation ambiguë - chapitre 1


    Datte: 13/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Novella, Source: Hds

    ... l’écran de la télévision, ce n’était plus Tom Cruise qui s’agitait, mais deux mecs baraqués qui empalaient une meuf épaisse comme une brindille. Il n’y avait pas de son, juste les images excitantes à souhait. Combien de fois j’avais rêvé d’un plan à trois dans lequel je me faisais démonter ? Je sentis ma culotte s’humidifier un peu plus, si c’était possible étant donné qu’elle était déjà imbibée de mouille.
    
    Mais ce qui attira le plus mon œil n’était pas à l’écran, mais sur le canapé. Théo était assis, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, la mâchoire contractée, les jambes écartées, les mains cramponnées aux cheveux blonds de Simon qui s’attelait à faire coulisser sa bite dans sa bouche en bavant un max pour lubrifier l’engin.
    
    — Han, putain, grogna Théo.
    
    — Ta gueule, elle va nous entendre, marmonna Simon, la bouche pleine.
    
    — Si ça pouvait lui donner des idées, comme cette pute qui se fait tringler comme une chienne, ricana Théo.
    
    Oh si tu savais toutes les idées que ça me donne…
    
    Je restai immobile, incapable de bouger et de réfléchir. Je réalisai doucement, à travers l’excitation insoutenable qui me faisait déjà haleter, que j’avais deux mecs, devant moi, qui n’attendaient qu’une chose : me prendre.
    
    Ils bougèrent, je restai dans l’ombre pour ne pas me faire repérer. Théo se retrouva à quatre pattes sur le canapé, Simon derrière lui. Simon poussa doucement son gland contre l’anus de Théo, qui s’ouvrit avec une facilité déconcertante. Alors ils n’en ...
    ... étaient pas à leur coup d’essai, ces petits salauds.
    
    — Qu’est-ce que j’aimerais lui défoncer le cul comme toi, éructa Simon.
    
    — Il doit être tellement serré…
    
    Alors, quand ils baisaient, c’était à moi qu’ils pensaient ? C’en était trop. Je pouvais plus rester cachée. Il fallait que je les rejoigne, parce que là, même mon womanizer ne suffirait pas à calmer le feu qui se propageait en moi. Je ne répondais plus de rien. Je ne savais qu’une chose : je voulais me faire défoncer, baiser comme jamais.
    
    Discrètement, je me débarraissai du peu de vêtements qui me couvraient encore et je m’approchai silencieusement du canapé où Théo prenait un pied d’enfer. Je m’étais toujours demandé ce que pouvaient ressentir les mecs quand on stimulait leur prostate, mon ex n’avait jamais voulu, pas même du bout du doigt. Ça avait l’air de conduire Théo au septième ciel. Les yeux révulsés, il grognait de plus en plus fort, ce qui semblait énerver Simon qui avait peur de me réveiller. Il n’allait pas tarder à se rendre compte que c’était trop tard et que Théo avait bien fait, de gémir aussi fort. Parce que je pouvais nous prédire une nuit de folie. Et toutes les autres aussi.
    
    — Je peux me joindre à vous, couinai-je de ma voix la plus sensuelle, celle qui me faisait vibrer moi-même quand je me chuchotais des mots cochons en me branlant.
    
    Ils sursautèrent tous les deux. Simon se retira de Théo et tomba à la renverse. Je ne pensais pas leur faire tant d’effet. La surprise et la gêne se ...