Apprentie libertine
Datte: 12/04/2022,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
boitenuit,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
Partouze / Groupe
fouetfesse,
init,
totalsexe,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... me masturbe dessus. Je lui fais la même. Nos yeux mi-clos se remercient. Nos phalanges nous pénètrent, nous pouvons pivoter. Le public est friand. L’inévitable arrive, nous jouissons ainsi, debout sur nos phalanges entre deux barres. À regret, nous nous décollons. La brune inconnue me prend par les deux mains, pubis contre pubis, elle dit haut et fort :
— Mademoiselle, vous avez des couilles au cul.
Elle me roule une pelle pas possible.
Les bravos déferlent.
Noblesse oblige, je lui tends ses vêtements, la raccompagne à sa table en la mettant en vedette.
À n’en pas douter, cette nana est une pro du pôle. Que cherchait-elle ?
La fille qui m’avait encouragée vient me sauter au cou« Comment que t’l’as matée ! ».
Je la galoche, un autographe pour cette fan aux mains baladeuses.
— Je dois continuer mon tour des tables, lui pincé-je doucement un téton.
L’inconnue brune a disparu comme par magie.
Au débriefing du lundi matin avec le patron, Jessica est réapparue, Sakia sérieuse, le patron égal à lui-même.
— Mesdemoiselles, une suggestion… demande-t-il.
Je viens mettre les deux mains sur le bureau, je ne questionne pas, j’affirme :
— Monsieur, c’est vous qui m’avez envoyé la brune ! C’est mesquin !
— Absolument pas, dit Jessica.
— Toi ! Tu m’as fait ça, j’t’aime pu… J’te cause pu…
Jessica fait entrer l’inconnue brune, l’amène vers moi :
— Caro, je te présente Marika, ma copine qui danse dans un club voisin.
— Qui ? J’veux pas lui ...
... parler…
— La bourrique ! Je lui ai parlé de toi, elle s’est enthousiasmée et nous avons monté cette intrigue et tu t’en es sortie comme une reine. T’aimes pas le pigment ?
— Si, mais une amie qui me piège, dis-je dans une moue plus que simulée.
Je me tourne vers Marika, j’ai la main qui me démange pour la claquer, elle se raidit, au lieu de cela, je la galoche en lui pinçant une fesse. Son « Aie » s’étouffe dans le baiser.
— Max, puis-je ? demande-t-elle au patron.
Pas de réponse.
Elle me tire sur le fauteuil, en une seconde, j’ai droit à une fessée. Je ne l’ai pas vu venir. Je me débats mollement sous la claque, sa phalange dans mon sexe me calme aussitôt. Elle m’embrasse sur une fesse, me relève :
— Caroline, on ne dirait pas à vous voir, vous avez un caractère de chien.
En lissant ma robe, je lui tire la langue, puis à Max, puisque j’apprends le nom du patron qui m’explique :
— Marika est un maître fesseure. Vous devriez apprécier ses talents.
— Vous m’avez roulé dans la farine. J’viendrai pu ! Jamais ! Au revoir, à vendredi !
Je sors en faisant claquer mes talons.
PS : J’ai écrit fesseure sonnant mieux mieux à l’oreille que fesseuse.
Alban est en déplacement en Bretagne. Mercredi midi, je déjeune avec Edwige.
— Caro, je vire gouine avec toi. De penser à toi, ça me fait des trucs. Il est temps que je trouve un mec. Je voudrais trouver un Alban en plus viril. Le nôtre est fait pour toi, vous serez heureux pas possible…
— Je le trouve viril, ...