Le vieux de la chambre 124
Datte: 11/04/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Strangemax, Source: Xstory
... nu, avait un peu froid. Elle regardait sa tante avec des yeux tout ronds : « Tu es sûre, tatie ? »
Suzanne hocha la tête, ce qui semblait suffire pour exiger ceci ou quoi que ce soit d’autre. Elle laissa à la jeune fille sa place au bord du lit. Toujours seins nus, Sophie s’avança alors à portée de main du vieux. Il s’agrippa aussitôt à son jean, ce qui énerva la patronne : « Allons, tu es sage ou ça s’arrête-là ». Du coup, le vieux reposa ses bras sur le lit. Il n’en fixait pas moins avec avidité la petite jeunette qu’on lui donnait en spectacle de manière inespérée. Sophie défit donc les boutons de son jean, laissant apparaître le haut d’une petite culotte en coton toute simple, assortie au soutien-gorge. Elle sentait une boule dans son ventre, mais se sentait bien incapable d’échapper à cette situation aussi étrange qu’imparable. La jeune fille baissait les yeux. Elle sentait cependant bien le double regard qui pesait sur elle : celui du vieux bonhomme et celui de Suzy, attentifs, inquisiteurs.
Sophie se tourna lentement, dos au lit, se pencha légèrement en avant, glissa ses pouces dans sa culotte puis les fit glisser le long de sa cuisse, découvrant ainsi ses fesses amples, pleines, généreuses. Elle descendit son pantalon et sa culotte jusqu’aux genoux dans un geste aussi chaste que possible, mais déjà bigrement indécent. Dans le mouvement, sa raie s’écarta légèrement, laissant apparaître un fin duvet de poils bruns. Le vieux s’en étouffa presque. Elle se redressa ...
... aussitôt et le vieux apposa ses mains tremblantes, constellées de taches brunes, sur la chair fraîche de ce cul presque juvénile qui s’offrait à lui. Il n’avait rien vu de tel depuis un moment ! Rapidement, il glissa un doigt entre les fesses, sentit le soyeux des petits poils bruns. Ce contact était si étonnant que Sophie en avait la tête qui tournait. Elle avait envie de s’enfuir ou envie d’aller plus loin, elle ne savait plus trop. Elle avait envie de tout et de rien.
Elle sentait les doigts de ce vieux qui cherchait à la fouiller, à s’immiscer en elle. De plus en plus, elle se raidissait, se crispait puis, soudain, sans réfléchir, elle se pencha en avant et écarta plus franchement les jambes. Elle serra les dents. Aussitôt, la main osseuse du vieux s’infiltra entre ses cuisses. Son doigt tordu par les rhumatismes glissa entre les lèvres charnues de son sexe dégoulinant. Ce contact l’électrisa. Le vieux jubilait : « Bon dieu... la cochonne... le cul... ». Il en bavait ! Même Suzanne était comme paralysée par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Tout en continuant de labourer le sexe de la fille avec sa main malhabile, le vieux bonhomme pencha sa tête entre ses fesses, en huma l’odeur exquise et glissa un instant sa langue dans sa raie. Elle s’offrait de plus en plus, écartant les jambes, laissant maintenant clairement apparaître son sexe ouvert, et son œillet anal qui se dévoilait de plus en plus nettement.
C’est alors que sa tante l’agrippa par les épaules pour ...