1. Le vieux de la chambre 124


    Datte: 11/04/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Strangemax, Source: Xstory

    ... fixait. Il n’avait pas l’air bien méchant. Simplement, il la dévorait du regard, fasciné, un peu bêtement, comme un gamin, captivé par ses seins. Elle s’aperçut alors qu’elle ne l’avait jamais vraiment regardé. Il avait la peau toute fripée et tachée, des sourcils broussailleux et une mince couche de cheveux gris rejetés en arrière. Ses yeux étaient légèrement vitreux et mi-clos, sa bouche un peu tordue. Elle trouva cette vision plutôt rassurante et se détendit légèrement. Elle regarda Suzy comme pour se faire confirmer qu’elle faisait ce qu’il fallait. Le vieux recommença à tendre les bras vers la jeune fille, avec un air un peu désespéré et en poussant des grognements indistincts. Suzy posa alors délicatement la main sur le dos de sa nièce et lui glissa à l’oreille : « Allons, approche-toi un peu ».
    
    Sophie se sentait dans un état presque hypnotique, tout en ayant parfaitement conscience de tout ce qui se passait. En tout cas, elle sentit nettement qu’elle n’avait pas les moyens de résister. Elle s’avança donc vers le lit, jusqu’à ce qu’une des mains du vieux prit appui sur sa hanche. Il se redressa aussitôt dans un râle asthmatique et plaqua ses deux mains sur chacun des seins voluptueux de la jeune fille. Il était excessivement maigre, presque squelettique, et ses mains étaient toutes tendineuses, sèches, un peu râpeuses. Le contraste était grand avec la peau lisse de Sophie, ses seins lourds, son teint légèrement mate. Il les caressa d’abord un peu maladroitement puis ...
    ... les malaxa bientôt sans ménagement. Il était parcouru de petites secousses. On avait l’impression qu’il riait sans parvenir à l’exprimer complètement : un grand rire un peu bloqué à l’intérieur d’une carcasse usée par le temps.
    
    Sophie regardait ses mains fripées qui parcouraient sa poitrine, les yeux espiègles du vieux. Elle était proche du dégoût, mais était en même temps animé par un sentiment de devoir. Les sensations qu’elles ressentaient étaient contradictoires.
    
    Le vieux s’agitait de plus en plus. Il s’inclina soudain sur le côté pour fourrer son nez entre les deux seins de la jeune fille. Dans le mouvement, il attrapa le téton droit entre ses lèvres sèches, sans que Sophie n’ait eu le temps de réagir. C’est Suzanne qui la tira en arrière et calma les ardeurs du vieux bonhomme : « allons, allons, papy, du calme : tu vas finir par te tuer... » et elle le repoussa sur son oreiller. Le vieux se radoucit un instant, puis reprit ses discours décousus : « cochonne... le cul... le cul ». Tout en pointant clairement du doigt le nouvel objet de sa convoitise. Suzanne sembla s’en amuser : « Hé là, grand-père, il t’en faut toujours plus, c’est ça ?... ».
    
    Lui, il faisait un peu une tête de chien battu :
    
    — Le cul... joli... le cul...
    
    — Et après, tu nous fous la paix, hein !?
    
    Le vieux n’approuva pas vraiment, mais Suzy se retourna quand même vers sa nièce : « Allez, montre-lui ! Ça lui fera plaisir et on sera débarrassé. »
    
    Sophie qui était restée en retrait, torse ...
«12...456...»