Le vieux de la chambre 124
Datte: 11/04/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Strangemax, Source: Xstory
... l’occasion idéale.
Naturellement, Suzanne refusa d’accorder un quelconque traitement de faveur à sa nièce. Sophie commença donc au bas de l’échelle, en tant que femme de chambre. Les débuts furent plutôt difficiles. Non seulement le travail était physiquement éprouvant, mais c’était aussi moralement difficile à supporter. Il fallait composer avec des pensionnaires pas toujours aimables, et surtout, apprendre à s’habituer à cette proximité, inhabituelle pour une jeune fille, avec la maladie, et même, parfois, avec la mort. Pour ne rien arranger, sa tante lui apparaissait bien différente dans un contexte professionnel. Ses employés la craignaient, non parce qu’elle était particulièrement odieuse, mais parce qu’elle exigeait toujours l’excellence de ses subordonnés. Elle avait l’image d’une femme juste, mais intransigeante, froide, mais efficace. De fait, elle ne se privait pas d’une certaine sévérité à l’égard de sa nièce.
Plusieurs fois, la jeune fille songea à abandonner, surtout la première semaine, mais elle s’accrocha. Elle n’était quand même pas du genre à se laisser faire. D’ailleurs, plus le temps passait et moins sa tâche lui semblait insurmontable. A dire vrai, c’était juste au moment où ce travail commençait presque à lui plaire qu’elle rencontra un autre genre de difficulté.
Le pensionnaire de la chambre 124 était un vieux grabataire de 84 ans qui ne quittait plus que rarement son lit et qui, ces derniers mois, semblait lentement mais sûrement s’avancer ...
... vers la fin. Toutefois, depuis quelques jours, Sophie avait noté chez lui un petit regain d’activité. Ce matin-là, lorsqu’elle entra dans la pièce, le vieux la regarda d’un air un peu hébété. Elle lui sourit en lui disant bonjour, comme elle faisait avec tout le monde. Sophie était toute mignonne, avec sa petite blouse blanche, ses longs cheveux bruns attachés un peu négligemment en chignon sur sa tête. Elle commença à s’affairer dans la chambre lorsqu’il lui sembla que le vieux monsieur essayait de lui dire quelque chose. Sa voix n’était cependant qu’un souffle presque inaudible. Elle s’approcha, se pencha au-dessus du lit pour essayer de saisir le sens de ses mots et, là, la main du grabataire vint soudain se plaquer contre son sein droit. Elle recula d’un pas, hésitant entre la surprise et l’effroi.
Aussitôt, cependant, elle reprit ses esprits. C’était sans doute un de ces gestes brusques et involontaires, auxquels les grabataires sont parfois sujets...
Alors, elle continua sa besogne et n’y pensa plus. Les jours suivants, pourtant, le même genre d’incident se répéta. En fait, elle ne pouvait plus s’approcher du lit de la chambre 124 sans que le pensionnaire n’essaye de la toucher. Il apparaissait de plus en plus clair qu’il tentait véritablement de la tripoter, en particulier aux endroits que les hommes aiment à tripoter. Elle avait beau essayer de le raisonner, lui faire des remontrances, rien n’y faisait.
Les jours passèrent et le pensionnaire de la 124 semblait ...