1. Juliette mon amour (3)


    Datte: 10/04/2022, Catégories: Zoophilie, Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... cette hauteur, cette fermeté.
    
    — Je peux voir la hauteur et la rondeur, mais pas la fermeté.
    
    — Et bien, venez vérifier par vous-même.
    
    Elle me regarde, s’approche et pose ses mains sur mes seins. Elle les caresse cinq secondes et retire ses mains.
    
    — Il ne faut pas me tenter, ça fait remonter de vieux souvenirs.
    
    — Désagréables ces souvenirs ?
    
    — Au contraire, très agréables, je suis nostalgique de cette époque de bonheur.
    
    Je lui prends les deux mains et les pose sur mes fesses, je me colle à elle en l’enlaçant. Elle a un énorme frisson, Juliette comprend ce que je fais et vient se coller derrière elle, ses mains viennent caresser ses seins.
    
    — Doucement les filles, doucement, c’est trop d’un seul coup.
    
    — Vous n’aimez pas ?
    
    — Que vas-tu penser, j’adore, mais c’est trop, je ne sais plus où je suis.
    
    — Pas de problème mamy, laisse-toi aller, on va te faire remonter dans le temps.
    
    Je me recule, la prends par la main et l’amène dans sa chambre, elle se doute de ce qui va arriver, mais elle se laisse faire. Nous l’allongeons sur son lit en lui ouvrant un peu les jambes. Je colle ma bouche sur sa vulve, elle donne un coup de reins en avant, ma langue se glisse entre ses lèvres pendant que Juliette lui titille les seins avec sa bouche. Je sens son corps réagir à nos caresses, elle devait être en manque énorme, car elle jouit en une minute. Son corps se tend et s’arc-boute sur son lit, ses fesses décollent du lit, elle se donne entièrement. La bouche de ...
    ... Juliette est maintenant sur sa bouche, les mains de Suzanne sont sur les fesses de sa petite fille. Quand son corps est revenu sur le lit, Juliette vient se mettre à ma place et pose sa bouche sur son sexe. Elle réagit en se redressant, elle regarde sa petite fille entre ses cuisses, elle me regarde, je la fais s’allonger de nouveau.
    
    — Laissez-vous faire, vous allez aimer.
    
    — Je crois qu’au point où nous en sommes, tu peux me tutoyer et m’appeler Suzanne, tu me bouffes la moule et tu me vouvoies, c’est con.
    
    — OK Suzanne.
    
    La langue de Juliette commence à faire son effet, elle se tortille dans tous les sens, je me penche sur elle et pose ma bouche sur la sienne, nous échangeons un baiser jusqu’à ce que je la sente se raidir et jouir.
    
    — Oh oui, oui ma chérie, oui, oui, quel bonheur, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
    
    C’est un bâton secoué par une main géante, elle secoue sa tête de gauche à droite, elle ne sait plus où elle est. Ma main glisse sur son corps, je découvre des seins encore souples et pleins, un ventre lisse et doux, une peau ferme. Elle est magnifique, c’est encore une très belle femme. Quand elle est de nouveau calme, elle se redresse et nous regarde.
    
    — Vous avez été merveilleuses les filles, mais il ne fallait pas, comment je fais maintenant avec vous là, visibles, si belles.
    
    — Eh bien, tu n’as qu’à nous faire la même chose, tu n’aimerais pas nous bouffer la moule comme tu dis ?
    
    Elle se jette sur moi, me propulse sur le lit ...
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