1. Juliette mon amour (3)


    Datte: 10/04/2022, Catégories: Zoophilie, Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... filles, je parle de ce qui se passe toutes les nuits dans votre lit.
    
    Nous nous regardons, je me liquéfie, mais pas de plaisir. Quand elle voit nos têtes, elle nous sourit.
    
    — Ne vous en faites pas les filles, je sais ce que c’est, j’ai moi-même fait l’amour avec mon amie d’enfance, il y a bien longtemps, nous nous aimions, je vous comprends. Et je ne vous en empêcherais jamais de vous aimer, j’ai trop souffert d’avoir été séparée de Laurette.
    
    — Vous vous êtes aimées avec Laurette ?
    
    — Oui ma chérie, Laurette, la marraine de ton père, et très fort, alors, depuis combien de temps ?
    
    — Ça fait à peine trois semaines, mais je sens que ça va durer longtemps, j’aime trop être avec elle.
    
    — OK, vous pouvez faire ce que vous voulez, même devant moi, et vous exprimer quand vous jouissez, ça doit être dur de se retenir d’exprimer sa joie, ça ne me dérange pas. Mais soyez quand même discrètes à l’extérieur, nous ne sommes pas à Agde.
    
    — Pourquoi Agde, il y a quelque chose de spécial ?
    
    — Juste la « baie des cochons » ma petite Laurence, c’est l’endroit le plus connu d’Agde, tout le monde fait l’amour devant tout le monde, c’est le rendez-vous des gros cochons. J’y allais encore avec Jules au début des années quatre-vingt, on y campait dans le camping naturiste, on a bien fait la fête là-bas, à cette époque, c’était le début, c’était assez discret, mais depuis, c’est devenu le temple du sexe à l’air libre.
    
    — Vous étiez échangistes mamy ?
    
    — Oui, mais le sida est ...
    ... arrivé, ça nous a fait peur, nous avons cessé d’y aller vers quatre-vingt-huit, c’est à ce moment que nous sommes venus ici, il n’y avait presque rien, on a acheté cette villa en deux milles, mais ton grand-père n’en a pas beaucoup profité.
    
    A l’évocation de la disparition de son mari, je vois qu’elle a une forte émotion, nous la laissons un moment sans question. C’est elle-même qui reprend.
    
    — Vous êtes ici chez vous, aimez-vous comme vous le désirez, mais je ne veux plus voir ces têtes abominables le matin, dormez un peu plus, vous êtes en vacances et à la fin du mois, vous allez entrer en fac, vous devez être en forme, reposez-vous un peu.
    
    — OK mamy, merci, tu es adorable comme d’habitude.
    
    Nous nous levons pour aller l’embrasser, je me colle à elle, je sens que son corps réagit, mais elle ne laisse rien paraitre. Sa peau est encore ferme et douce, elle en profite pour me donner une petite tape sur la fesse. Je la regarde, elle me sourit, ses yeux expriment la sérénité, je lui refais une bise.
    
    — C’était tentant, tu as un cul d’enfer.
    
    — Elle râle quand je le lui dis, elle ne veut pas qu’on parle de sa plastique sublime, elle fait un complexe, je ne comprends pas, si j’avais son corps, je le montrerais au monde entier.
    
    — Faire la Playmate de Play boy par exemple ?
    
    — Et pourquoi pas ?
    
    — Je ne sais pas si mon bonnet B suffirait à les satisfaire.
    
    — Il n’y a pas que les seins, et les tiens sont eux aussi sublimes, regarde mamy, regarde cette rondeur, ...
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