Juliette mon amour (3)
Datte: 10/04/2022,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: zooph34, Source: Xstory
Suzanne
Fin juillet, nous sommes allées à Port Leucate dans le village naturiste. Arrivés chez la grand-mère, Juliette et son père se sont déshabillés, la grand-mère était nue elle aussi, je me suis trouvée un peu conne de rester habillée. J’ai donc décidé d’enlever tout, j’ai été étonnée de constater que personne ne me regardait de travers, tout le monde vivait normalement, j’ai apprécié. Cette femme de soixante et un ans parait beaucoup plus jeune, elle s’appelle Suzanne, elle est encore très attirante. Elle est très jolie, a encore une belle poitrine en poire, un ventre plat, un pubis lisse qui laisse voir un clitoris qui pointe sa tête, de belles fesses et des jambes d’enfer. Jeune, elle devait être canon de chez canon, et je suis sûre qu’elle fait encore se retourner pas mal de têtes sur son passage. Le père de Juliette est reparti en début d’après-midi, nous sommes allées sur la plage, c’était magique de se baigner nue et de lézarder au soleil.
Le soir venu, Suzanne a un petit problème, il n’y a qu’une chambre en plus de la sienne.
— Les filles, j’espère que ça ne vous dérange pas de dormir ensemble, sinon, il y a le divan, je sais qu’on peut y dormir, tes cousins sont venus l’année dernière et l’un d’eux a dormi dessus.
— Non, ne t’en fait pas mamy, on se débrouillera comme ça, on va dormir ensemble, on se connaît depuis trop longtemps.
— Très bien mes chéries.
Le soir, Suzanne va se coucher, elle vient nous faire une bise et nous quitte avec un ...
... petit sourire en coin, nous n’y prêtons pas d’attentions particulières. Nous allons dans la chambre, la porte est à peine fermée qu’on se jette dans les bras l’une de l’autre, nous échangeons un long baiser, une demi-journée à la voir nue sans pouvoir la caresser m’a mise sens dessus dessous. Nos mains se rattrapent, elles courent comme des folles sur nos corps. Nous nous jetons sur le lit pour nous aimer. Ma bouche sur son sexe, la sienne sur le mien, nos langues se déchaînent, nous jouissons en silence, il ne faut pas alerter Suzanne. Nous ne nous sommes endormies que vers deux heures du matin, enlacées et repues. Les premiers jours se passent très bien, plage, sieste d’amour, plage, nuit d’amour, ça n’a été qu’une succession de bonheur. Nous profitons à fond de notre chambre, nous avons instauré la sieste, pour pouvoir nous aimer encore plus.
Nous dormons toujours ensemble, ce qui paraissait naturel pour deux amies d’enfance. Comme nous faisons l’amour toutes les nuits jusqu’à très tôt le matin, nos corps s’harmonisent de plus en plus, mais les nuits sont courtes et peu reposantes. Le matin du cinquième jour, au petit-déjeuner, nous sommes assises autour de la table, Suzanne reste debout et nous regarde fixement.
— Ça dure depuis combien de temps entre vous ?
— Quoi donc.
— Ne faites pas les innocentes, vous en êtes loin, je vois vos têtes de déterrées tous les matins, vous ne dormez pas beaucoup, pourtant, vous faite soi-disant une sieste, alors, soyons clairs les ...