Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (6) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (6)

... violet. Elle ne semblait pas avoir remarqué que je me masturbais car elle affichait un visage impassible.

— J’ai un peu peur toute seule dans ma chambre. Je peux dormir avec toi ?

J’écarquillai les yeux.

— Tu ne veux pas plutôt aller dormir avec Satyne ou maman ? On n’a plus sept ans !

Elle se recroquevilla, gênée.

— Satyne dort déjà avec maman. Et je me sentirais plus en sécurité avec toi qu’avec maman. Toi au moins t’es musclé !

Je cédai à sa demande, incapable de trouver un contre-argument. Juste avant qu’elle ne se glisse enfin sous la couverture, je remis discrètement mon caleçon par-dessus mon pénis encore en érection.

Elle tira les couvertures jusqu’à son cou et se tourna vers moi.

— Merci, petit frère ! Je me sens déjà mieux !

— Super ! Mais essaye de ne pas me piquer la couverture cette nuit ! Je ne veux pas avoir froid ! Dis-je, sarcastique.

— T’inquiètes !

Et j’éteignis la lumière. Le silence s’installa.

Ma trique me gênait toujours et n’avait pas diminué d’un millimètre. Il fallait que je me décharge ou ma queue allait exploser. Je rompis le silence.

— Il faut que j’aille aux toilettes !

Ma sœur grommela un "ok" à peine audible. Je me glissai hors des couvertures et je sortis de la chambre. Je me dirigeai vers les toilettes de l’hôtel en suivant les panneaux.

Lorsque je vis enfin la porte, je ralentis le pas et entrai sans plus attendre. Bien que le reste de ...

... l’hôtel soit insalubre, les toilettes étaient étonnamment propres.

L’intérieur était tapissé de coussins noirs et le sol était fait de carrelage lisse. J’entrai dans une cabine et je verrouillai derrière moi. Je rabattis le couvercle des toilettes et je m’assis dessus, caleçon baissé.

Je coinçai ma verge entre mes doigts et commençai un va-et-vient assez rapide. Il fallait que je jouisse vite afin de ne pas éveiller de soupçons de ma sœur. J’imaginai Zoé me chevauchant fougueusement, ses cheveux blonds volant et me fouettant le visage au rythme de ses mouvements. Cette vision divine eut raison de moi et je sentis la jouissance arriver.

Je me relevai et me mis face au mur afin de larguer la sauce. Cette dernière ne tarda pas et arrosa la paroi noire comme le jais. Je ne pus m’empêcher de penser à ma sœur endormie alors cinq lignes blanches décoraient à présent le mur. Je remontai mon caleçon et quittais les toilettes sans prendre le temps d’essuyer. De toute manière, plus personne n’allait utiliser ces cabinets après moi !

Je revins au pas de course dans ma chambre et me glissai aux côtés de Judie qui s’était endormie. Avec la queue enfin molle, je me blottis contre mon oreiller et sombrai dans le sommeil.

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Merci d’avoir ce chapitre et demi !

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Erotiquement,

Sardinalow & FireHorse